Arche de Noé
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Arche de Noé
Comme certains aiment les belles histoires. A côté du Mont Ararat on voit une formation géographique étonnante baptisée "l'empreinte de l'arche de Noé"
Bien sûr il faudra Google Earth... cliquez ici => Empreinte de l'arche de Noé
Le site de Durupinar est un site montagneux en forme de bateau situé au nord-est de la Turquie, dans les monts Tenderuk. Il a été baptisé d'après le nom d'Ilhan Durupinar, un capitaine de l'armée turque qui identifia cette formation rocheuse lors d'une mission aérienne de cartographie menée pour le compte de l'OTAN, en 1959. Nombreux sont ceux qui, jusqu'à aujourd'hui, estiment qu'il s'agit des traces laissées par l'arche de Noé, qui se serait échouée dans la région selon la Bible.
Le site se trouve près d'un village appelé Uzengili et du mont Maşher Daĝi, à environ trois kilomètres au nord de la frontière iranienne, à quinze kilomètres de Doğubeyazıt, dans la province d'Ağri, et à vingt-deux kilomètres au sud du grand mont Ararat.
Au mois de mai 1948, de fortes pluies combinées à trois séismes avaient dévoilé la formation en la débarrassant de sa boue. Après l'observation faite par Ilhan Durupinar, le gouvernement turc fut informé de cette découverte. Une délégation d'archéologues, qu'accompagnait George E. Vandeman, Ilhan Durupinar et le Dr. Brandenberger examina le site en septembre 1960. Après deux jours passés à creuser et à dynamiter à l'intérieur de la formation à l'allure de bateau, l'équipe fut déçue de ne retrouver que de la terre et des rocs, et un communiqué officiel indiqua que le site était uniquement le fruit d'un caprice de la nature, sans intervention humaine.
Le site est resté ignoré jusqu'en 1977, lorsqu'il fut redécouvert et aménagé par l'explorateur et archéologue Ron Wyatt. Ce dernier passa les années 1980 à essayer d'intéresser d'autres personnes au site, y compris l'ancien astronaute James Irwin et le créationniste John Morris, aucun des deux n'ayant semble-t-il été convaincu.
En 1985, Wyatt fut rejoint par David Fasold et le géophysicien John Baumgardner pour une expédition, relatée dans The Ark of Noah, un ouvrage de Fasold. Le site, par rapport au mont Ararat, présente l'avantage d'être aisément accessible. Sans être une attraction touristique majeure, il reçoit un flot continu de visiteurs.
Bien sûr il faudra Google Earth... cliquez ici => Empreinte de l'arche de Noé
Le site de Durupinar est un site montagneux en forme de bateau situé au nord-est de la Turquie, dans les monts Tenderuk. Il a été baptisé d'après le nom d'Ilhan Durupinar, un capitaine de l'armée turque qui identifia cette formation rocheuse lors d'une mission aérienne de cartographie menée pour le compte de l'OTAN, en 1959. Nombreux sont ceux qui, jusqu'à aujourd'hui, estiment qu'il s'agit des traces laissées par l'arche de Noé, qui se serait échouée dans la région selon la Bible.
Le site se trouve près d'un village appelé Uzengili et du mont Maşher Daĝi, à environ trois kilomètres au nord de la frontière iranienne, à quinze kilomètres de Doğubeyazıt, dans la province d'Ağri, et à vingt-deux kilomètres au sud du grand mont Ararat.
Au mois de mai 1948, de fortes pluies combinées à trois séismes avaient dévoilé la formation en la débarrassant de sa boue. Après l'observation faite par Ilhan Durupinar, le gouvernement turc fut informé de cette découverte. Une délégation d'archéologues, qu'accompagnait George E. Vandeman, Ilhan Durupinar et le Dr. Brandenberger examina le site en septembre 1960. Après deux jours passés à creuser et à dynamiter à l'intérieur de la formation à l'allure de bateau, l'équipe fut déçue de ne retrouver que de la terre et des rocs, et un communiqué officiel indiqua que le site était uniquement le fruit d'un caprice de la nature, sans intervention humaine.
Le site est resté ignoré jusqu'en 1977, lorsqu'il fut redécouvert et aménagé par l'explorateur et archéologue Ron Wyatt. Ce dernier passa les années 1980 à essayer d'intéresser d'autres personnes au site, y compris l'ancien astronaute James Irwin et le créationniste John Morris, aucun des deux n'ayant semble-t-il été convaincu.
En 1985, Wyatt fut rejoint par David Fasold et le géophysicien John Baumgardner pour une expédition, relatée dans The Ark of Noah, un ouvrage de Fasold. Le site, par rapport au mont Ararat, présente l'avantage d'être aisément accessible. Sans être une attraction touristique majeure, il reçoit un flot continu de visiteurs.
Re: Arche de Noé
http://www.arcimaging.org/ArcImagingWeb_files/frame.htm
http://arcimaging.org/GeisslerRex/Durupinar20003.jpg
LE SITE DE « DURUPINAR », NOUVEAU GRAAL DILUVIEN
C’est en 1959 que survient un évènement qui va entrainer, un an plus tard, l’expédition la plus spectaculaire jamais organisée et dont nous allons découvrir le suspense haletant. En 1959, donc, un capitaine de l'armée turque du nom d'Ilhan Durupinar identifie, lors d'une mission aérienne de cartographie menée pour le compte de l’OTAN, un étrange site montagneux situé au nord-est du pays, dans les monts Tenderuk. Ce site avait été mis fortuitement à jour une dizaine d’années auparavant, en 1948, suite à de fortes pluies combinées à trois séismes qui avaient débarrassé l’endroit de la couche de boue qui le recouvrait.
Vu de loin (et de haut), il s’agirait de la forme d’un bateau ! Certes, si l’on se réfère à la lettre exacte de la Bible, le site n’est pas directement sur l’Ararat. Mais il n’en est pas loin : il se situe près d'un village appelé Uzengili, à environ trois kilomètres au nord de la frontière turco-iranienne, dans la province d’Agri et à seulement à vingt-deux kilomètres au sud de l’Ararat. Une broutille, à l’échelle biblique.
Informé, le gouvernement turc décide donc d’envoyer, en 1960, une expédition en direction du « site de Durupinar », laquelle comprend notamment un pasteur protestant du nom de George E. Vandeman, le capitaine turc Ilhan Durupinar et des archéologues et géologues. Quand le petit groupe arrive enfin sur le site (1 804 mètre d’altitude), il y a bel et bien là une forme immense (près de 200 mètres de long), en forme de barque pointue à l’avant ! C’est l’étonnement, l’incrédulité, l’émotion qui frappent les hardis explorateurs. Toucherait-on enfin au but ?
undefined Les explorateurs arpentent le site et se mettent à creuser. Objectif : trouver des morceaux de bois. Quant aux bords de ce « bateau » sont-ils en pierre ou en minéral issu d’une fossilisation ? Car, dans ce cas, compte tenu de la lenteur de la transformation d’une matière minérale en pierre (plusieurs millions d’années !), l’« arche » serait aussi vieille que cela ? Est-ce réaliste ? Evidemment, non.
Pour de plus amples informations, cliquez ici => La plume et le rouleau
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