Poetry (c'est à dire Poésie)
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Poetry (c'est à dire Poésie)
Un film dont le sujet bizarrement colle vaguement a l'actualité du forum ce soir
mais je ne l'ai pas vraiment choisi
j'ai fait confiance à J-J Schpoliansky qui tient les rênes du cinéma Le Balzac
et ce soir dans la grande salle il y avait le film qui a eu le prix du scénario à Cannes...
en plus ce samedi Le Balzac programmait comme concert gratuit 20 minutes avec le trio Atanassov (piano, violon, violoncelle)
(tous les samedis soir ce cinéma indépendant - le dernier - des Champs Elysées programme un concert de 20 minutes de musique avec des jeunes en perfectionnement au conservatoire, voire plus comme ce soir)
Donc d'abord 20 minutes de Beethoven puis d'un auteur contemporain. Quel plaisir mon cher Wolfy!
ensuite place au film coréen de Lee Chang Dong
P O E T R Y
Ce symbole veut dire Poésie donc Poetry en anglais, titre un poil plus vendeur que Poésie sauf pour les membres du forum et en coréen ça se prononce Chi
Comme ce filma eu le prix du scénario je ne vais pas vous le raconter...
Disons qu'il aurait pu avoir le prix d'interprêtation féminine car cette grande actrice coréenne joue le rôle d'une grand-mère dont l'esprit commence à partir en morceaux (Alzheimer) et qui s'inscrit à un cours de poésie... mais elle ressent beaucoup plus la douleur du monde que les hommes et les jeunes garçons comme son petit-fils qu'elle élève et qui eux ne veulent pas voir la réalité en face!
j'ai trouvé un texte qui résume sans raconter:
L'HISTOIRE : Dans une petite ville de la province du Gyeonggi traversée par le fleuve Han, Mija vit avec son petit-fils, qui est collégien. C'est une femme excentrique, pleine de curiosité, qui aime soigner son apparence, arborant des chapeaux à motifs floraux et des tenues aux couleurs vives. Le hasard l'amène à suivre des cours de poésie à la maison de la culture de son quartier et, pour la première fois dans sa vie, à écrire un poème.
Elle cherche la beauté dans son environnement habituel auquel elle n'a pas prêté une attention particulière jusque-là. Elle a l'impression de découvrir pour la première fois les choses qu'elle a toujours vues, et cela la stimule. Cependant, survient un événement inattendu qui lui fait réaliser que la vie n'est pas aussi belle qu'elle le pensait.
au fait ce n'est qu'en sortant que je me suis rendu compte que le film avait duré 2h20
Je ne vous ai pas mis la bande annonce qui raconte à mon avis beaucoup trop de choses...
Ce film est si plein de sensibilité, de non-dits, de choses que l'on devine y compris la fin...
Quel plaisir de partager la sensibilité et la quête de poésie d'un auteur a priori aussi éloigné de notre culture que la Corée
à part peut-être que la religion catholique y est pratiquée comme on le voit plusieurs fois dans le film...
mais je ne l'ai pas vraiment choisi
j'ai fait confiance à J-J Schpoliansky qui tient les rênes du cinéma Le Balzac
et ce soir dans la grande salle il y avait le film qui a eu le prix du scénario à Cannes...
en plus ce samedi Le Balzac programmait comme concert gratuit 20 minutes avec le trio Atanassov (piano, violon, violoncelle)
(tous les samedis soir ce cinéma indépendant - le dernier - des Champs Elysées programme un concert de 20 minutes de musique avec des jeunes en perfectionnement au conservatoire, voire plus comme ce soir)
Donc d'abord 20 minutes de Beethoven puis d'un auteur contemporain. Quel plaisir mon cher Wolfy!
ensuite place au film coréen de Lee Chang Dong
P O E T R Y
Ce symbole veut dire Poésie donc Poetry en anglais, titre un poil plus vendeur que Poésie sauf pour les membres du forum et en coréen ça se prononce Chi
Comme ce filma eu le prix du scénario je ne vais pas vous le raconter...
Disons qu'il aurait pu avoir le prix d'interprêtation féminine car cette grande actrice coréenne joue le rôle d'une grand-mère dont l'esprit commence à partir en morceaux (Alzheimer) et qui s'inscrit à un cours de poésie... mais elle ressent beaucoup plus la douleur du monde que les hommes et les jeunes garçons comme son petit-fils qu'elle élève et qui eux ne veulent pas voir la réalité en face!
j'ai trouvé un texte qui résume sans raconter:
L'HISTOIRE : Dans une petite ville de la province du Gyeonggi traversée par le fleuve Han, Mija vit avec son petit-fils, qui est collégien. C'est une femme excentrique, pleine de curiosité, qui aime soigner son apparence, arborant des chapeaux à motifs floraux et des tenues aux couleurs vives. Le hasard l'amène à suivre des cours de poésie à la maison de la culture de son quartier et, pour la première fois dans sa vie, à écrire un poème.
Elle cherche la beauté dans son environnement habituel auquel elle n'a pas prêté une attention particulière jusque-là. Elle a l'impression de découvrir pour la première fois les choses qu'elle a toujours vues, et cela la stimule. Cependant, survient un événement inattendu qui lui fait réaliser que la vie n'est pas aussi belle qu'elle le pensait.
au fait ce n'est qu'en sortant que je me suis rendu compte que le film avait duré 2h20
Je ne vous ai pas mis la bande annonce qui raconte à mon avis beaucoup trop de choses...
Ce film est si plein de sensibilité, de non-dits, de choses que l'on devine y compris la fin...
Quel plaisir de partager la sensibilité et la quête de poésie d'un auteur a priori aussi éloigné de notre culture que la Corée
à part peut-être que la religion catholique y est pratiquée comme on le voit plusieurs fois dans le film...
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