Traces d'une Passante
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Traces d'une Passante
Son avatar préféré ou presque...
Après la suppression du forum Envie d'Ailleurs, une passante qui avait posté de bien belles images a laissé des traces elle-aussi$
Posons la question à Google images : enviedailleurs passante -jardindesprit
et on trouve :
Jacob Collins vit à New-York où il donne aussi des cours de peinture. J'aime bien ce qu'il fait en général, sauf ses paysages, alors je n'en montre pas ! Tant pis
http://www.radiocampusparis.org/2014/10/on-veut-passer-de-lautre-cote-du-miroir-magique/
Suzanne Valadon - La chambre bleue - 1923
Vilhelm Hammershøï - chambre à coucher - 1890
Son œuvre illustre à merveille la poétique du silence et pour parler de cet homme, il faut peut-être cultiver comme lui l'art de la lenteur et de ...
Jean-Pierre Pincemin
Sans titre, 2004
Américaine, née en Pennsylvanie, Mary Cassatt étudiera la peinture en ... Mary Cassatt est l'une des seules femmes célibataires de son temps, ...
William Merritt Chase (1849–1916) Idle Hours, ca. 1894
Berthe Morisot, autoportrait
La célèbre chocolaterie fut fondée en 1848 à Marq en Bareuil.
C'est là, en 1954, que la firme invente "par erreur" le Carambar, qui deviendra son produit phare.
Chabas (mort en 1937) s'était spécialisé dans la Lolita (13/16 ans à tout casser,) peinte au lever du jour ou à la tombée de la nuit, en train de se baigner.
http://elevage.megabb.com/t4658-climatiseur-pour-affiner-tommes
Van Eyck (extrait)
Fritz Thaulow 1847-1906.avait épousé la sœur de Paul Gauguin. C'était un vrai artiste
Belle journée à tous avec ma "pin-up" du jour : Marguerite Moreno par Lucien Dhurmer.
Ulysse fait son numéro anti-pompier..... Moi j'ai acheté leur calendrier et je leur ai donné la pièce..... comme chaque année.... ...
Jean-Léon Gérôme
Emil Carlsen Still Life with Shoes c.1915
Bonjour tout le monde ! J'espère que vous êtes tous bien en forme pour commencer la semaine...
Oscar Wilde
Edmund Charles Tarbell, né le 26 avril 1862 à Groton mort le 1er août 1938 à New Castle, peintre impressionniste américain
portrait of a man, possibly of robert arnauld of andilly, 1650
Thomas Benjamin Kennington 1856 - 1916
permet à la passante d'être d'humeur sereine.
Dans un de mes catalogues "Paris Salon" j'avais trouvé autrefois cette statuette de Ferrary, un sculpteur de la belle époque
Henri Fantin-Latour - Charlotte Dubourg
Portrait de Derain par Matisse
Antoine Vincent
Gabriel Metsu - La cuisinière
Zurbarán : Nature morte avec assiette de pommes et d'oranges, vers 1640
les hollandais et les anglais emploient ce terme de vie silencieuse pour désigner une nature morte, respectivement Stillleben, Stil Leven et Still Life
Je pense que les discours le concernant sont sans intérêt, il suffit de voir ...
Henri Matisse - Femmes au canapé ou Le Divan
Cependant Une passante n'a pas les idées très larges en matière de féminisme...
Ailleurs elle avoue avoir quitté un café philo
Une Passante a écrit:
J'ai longtemps fréquenté un café philo et le débat était difficile car la plupart des personnes utilisaient des mots dont le sens n'était pas exact.
http://lartetlavie.forumgratuit.be/t103-remplacer-critique-par-commentaire
On retrouve effectivement ses traces potentielles ici :
Passante a écrit:21. Elle m'énerve
Ecrit par Passante. 01-12-2010
Intelligente ? En tout cas nullement féministe, ni révoltée, juste "navrée" la pauvre qui vient donner des leçons aux internautes et qui oublie Sylvie Pétin au passage. Elle est en pamoison devant quel chef ? En tout cas elle ménage tout le monde. Une neutre qui a l'air de s'y connaitre en patrimoine. A part ça ?
http://www.cafe-philo-des-phares.info/index.php?option=com_content&task=view&id=329&Itemid=40
http://www.cafe-philo-des-phares.info/index.php?option=com_content&task=view&id=328&Itemid=40&limit=1&limitstart=1
Baudelaire a écrit:
A une passante
La rue assourdissante autour de moi hurlait.
Longue, mince, en grand deuil, douleur majestueuse,
Une femme passa, d’une main fastueuse
Soulevant, balançant le feston et l’ourlet ;
Agile et noble, avec sa jambe de statue.
Moi, je buvais, crispé comme un extravagant,
Dans son oeil, ciel livide où germe l’ouragan,
La douceur qui fascine et le plaisir qui tue.
Un éclair... puis la nuit ! - Fugitive beauté
Dont le regard m’a fait soudainement renaître,
Ne te verrai-je plus que dans l’éternité ?
Ailleurs, bien loin d’ici ! trop tard ! jamais peut-être !
Car j’ignore où tu fuis, tu ne sais où je vais,
Ô toi que j’eusse aimée, ô toi qui le savais !
Charles Baudelaire Les Fleurs du mal, 1857
http://henrylucienmerle.over-blog.com/article-po-aimes-en-fevrier-verlaine-baudelaire-66292091.html
http://henrylucienmerle.over-blog.com/article-po-aimes-en-fevrier-verlaine-baudelaire-66292091.html
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