Delicatessen (JP Jeunet) Carlos d'Alessio
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Delicatessen (JP Jeunet) Carlos d'Alessio
C A R L O S _ D ' A L E S S I O
D E L I C A T E S S E N
un film de Caro et JP Jeunet
Juste pour vous faire flipper avant la musique, l'intro du film!
Une musique amusante pour un film génial et délirant
Wiki dit:
Carlos d'Alessio
En Argentine, il étudie l'architecture. s'intéresse au cinéma et apprend la musique. Entre dans une troupe de théâtre pour composer la musique des pièces crées. En 1962, il s’installe à New York et s’introduit dans le milieu de l'avant-garde, alors en pleine effervescence créative. En 1972, le compositeur fait un voyage à Paris où il retrouve le dramaturge et dessinateur argentin, Copi. Il collabore avec Alfredo Arias — venant lui aussi de Buenos Aires — fondateur de la troupe de théâtre, TSE. En 1973, Il attire l’attention de la romancière Marguerite Duras, devenue réalisatrice de films. Il devient son compositeur fétiche et la musique du film India Song le rend populaire. « La musique de Carlos d'Alessio […] m'entoure, m'habite comme à la première minute où j'ai entendu la musique de cet homme. » dit-elle. Leur collaboration s'avère fructueuse et durera jusqu’à son dernier film, Les Enfants, tourné en 1985. En 1986, il crée le spectacle Home Movies au Théâtre de la Ville de Paris, avec la participation de la danseuse chorégraphe Caroline Marcade. Jean-Pierre Jeunet fera aussi appel à lui pour un court-métrage et pour son premier film populaire, Delicatessen, réalisé avec Marc Caro en 1991. Ce sera sa dernière œuvre. Il mourra du Sida l’année suivante.
Delicatessen
Un ancien clown est engagé comme concierge dans un hôtel. Le quartier est peuplé de "troglodistes", d'un boucher bienveillant et d'un éleveur de grenouilles. Sur fond de guerre et de terrorisme, le voyageur va découvrir l'amour...
Delicatessen plonge le spectateur dans un univers étrange, inquiétant et burlesque, proche de la bande dessinée. Il met en scène des personnages atypiques, servis par des « gueules » du cinéma français (Jean-Claude Dreyfus, Dominique Pinon, Rufus, Ticky Holgado). Caro et Jeunet y jettent les bases d'un univers sombre et poétique qui s'affinera au fur et à mesure de leur filmographie (La Cité des enfants perdus, Alien IV, Amélie Poulain).
Il y a un clin d'oeil sur cette scène ainsi que celle des tuyaux dans le dernier film de Jeunet
Le bonus nous apprend que pour cette scène répétée de nombreuses fois
Jeunet au moment de la prise finale met un bouquet dans la main de D. Pinon
et lui ordonne malicieusement de s'asseoir sur l'autre chaise
d'où la confusion non feinte de l'actrice...
Dans Amélie Poulain il y a un clin d'oeil vers cette scène car Amélie quand elle pénètre chez l'épicier s'assied sur le lit et essaye les ressorts
La musique du début de cette scène finale fait penser à India Song
Il n'y a pas que la musique de bonne dans le film, il y a aussi l'humour
je ne sais si D'Alessio a participé à la construction musicale de cette scène d'orgasme comme Jeunet les adore
(souvenez vous de la scène des toilettes du café avec Amélie qui fait siffler la vapeur à la fin)
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