Expo Francis Bacon à Pompidou en novembre 2019
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Expo Francis Bacon à Pompidou en novembre 2019
Dès qu'on entre on arrive face à ce tableau qui vous met un coup poing dans l'estomac tellement la couleur, les formes géométriques et les corps déformés vous rappellent d'un cou l'art de Bacon.
Ensuite ce sont les triptyques qui me ravissent
In Memory of George Dyer, 1971 (son compagnon mort juste avant la grande expo de 1971)
Three Portraits – Posthumous of George Dyer; Self-Portrait; Portrait of Lucien Freud, 1973
Difficile de les prendre de face...
Les plaques de verre gênent les bonnes photos
Sacré tableau, partie gauche d'un triptyque où un homme se rase, avec les reflets de son visage...
Le portrait d'un homme vu dans ses reflets décomposés
Une expo si agréable que je l'ai vue deux fois...
Par contre les salles où l'on nous dit les textes qui auraient inspirés ces toiles m'ont paru une bien vaine expérience...
Exemple :
De plus je ne comprends pas vraiment le rapport entre ce texte dans lequel il s'est plongé et la douleur due à la perte de son compagnon.
Dossier de presse : https://www.centrepompidou.fr/en/content/download/95421/1227281/version/12/file/DPBACON.pdf
Ensuite ce sont les triptyques qui me ravissent
In Memory of George Dyer, 1971 (son compagnon mort juste avant la grande expo de 1971)
Three Portraits – Posthumous of George Dyer; Self-Portrait; Portrait of Lucien Freud, 1973
Difficile de les prendre de face...
Les plaques de verre gênent les bonnes photos
Sacré tableau, partie gauche d'un triptyque où un homme se rase, avec les reflets de son visage...
Le portrait d'un homme vu dans ses reflets décomposés
Une expo si agréable que je l'ai vue deux fois...
Par contre les salles où l'on nous dit les textes qui auraient inspirés ces toiles m'ont paru une bien vaine expérience...
Exemple :
Franchement ce genre de texte plutôt difficile ne me parle pas vraiment, j'en préfère la conséquence sur l'imagination de Bacon et son "écriture".Eschylle a écrit:« Les Euménides », L’Orestie, traduit du grec par Daniel Loayza,
Paris , Flammarion, 2001, p. 210
« J’entre au fond du sanctuaire, couvert d’offrandes,
et je vois près de l’ombilic un homme souillé de sacrilège
assis en suppliant, qui serre dans ses mains
dégouttantes de sang une épée fraîchement tirée
et un long rameau d’olivier
soigneusement enveloppé de bandelettes,
ou pour mieux dire comme une éclatante toison ;
devant cet homme, une étrange troupe
de femmes est endormie sur des sièges –
de femmes, je veux dire de Gorgones –
non, ce n’est pas aux Gorgones qu’elles ressemblent :
je les ai déjà vues un jour sur une image, ces Harpyes
ravissant le repas de Phinée, mais celles-ci n’ont pas d’ailes –
elles sont noires, absolument repoussantes,
le souffle de leurs ronflements ne se laisse pas figurer,
de leurs yeux coule une libation d’horreur
et leur parure ne se porte avec justice
ni devant les statues des dieux ni sous les toits des hommes.
Jamais je n’ai vu de meute de cette espèce,
ni la terre qui prétendrait avoir nourri leur race
sans dommage et sans regretter son épreuve.
De plus je ne comprends pas vraiment le rapport entre ce texte dans lequel il s'est plongé et la douleur due à la perte de son compagnon.
Dossier de presse : https://www.centrepompidou.fr/en/content/download/95421/1227281/version/12/file/DPBACON.pdf
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