Tentative d'attribution d'un tableau
Page 1 sur 1
Tentative d'attribution d'un tableau
Dans notre maison familiale il y a un petit tableau non signé fin XVIIIème (?) ou XIXème (?)
C'est une petite étude (32x41 cm) pour un grand tableau comme j'ai pu en voir au moins une au musée Roger Quillot de Montferrand (près de Clermont) :
Thomas Degeorge (1786-1854) Diagoras porté en triomphe par son fils - 1814
I D E N T I F I C A T I O N _ D U _ S U J E T
je n'arrive pas à deviner le sujet de l'histoire : il est habillé en romain et semble faire des adieux. La femme dont il tient le bras a un nourrisson, une autre le supplie, une troisième montre son sein en signe de ...
Serait-ce Joseph reconnu par ses frères?
http://www.academie-des-beaux-arts.fr/actualites/expositions/exposition_girodet.asp
Joseph reconnu par ses frères par Anne-Louis Girodet de Roucy-Trioson dit plus simplement Girodet
Prix de peinture de l'Académie royale 1789, huile sur toile, 113 x 144 cm
mais il ne tient pas la main d'une mère allaitant et n'est pas entouré de femmes suppliantes. Cependant le décor me faisait penser à celui de l'oeuvre attribuée...
On pourrait penser à Coriolan mais il est généralement en cuirasse....
http://www.elsalvador.com/articulo/entretenimiento/coriolanus-william-shakespeare-hombre-sangre-nino-lagrimas-55855
Jean-Jacques AVRIL le jeune (1771 - 1835) - Coriolan et Véturie
Gravure sur cuivre d'après Jean-Jacques Le Barbier (1738-1826) (815 x 650 mm) en vente ici http://wwwcano.lagravure.com/6_avril.htm
http://notesdemusees.blogspot.fr/2008/06/caen.html
Giovanni Francesco Barbieri, dit Le Guerchin (1591-1666) : Coriolan supplié par sa mère. Grand tableau monumental. (1643) Musée de Caen
http://www.museen-heilbronn.de/kunsthalle/ausstellung/rueckblick/ausstellungen_2011/fueger/
Heinrich Friedrich Füger (1751 – 1818, allemand) Véturie implore Coriolan d'épargner Rome - musée de la ville d'Heilbronn
On note que Coriolan a la même tête que dans mon tableau!!!
http://www.photo.rmn.fr/archive/93-004777-01-2C6NU0H9VZP5.html
La Générosité des dames romaines - 1790 - Louis Gauffier (1762-1801) Musée de Poitiers
Dames romaines suppliant Coristan (sic!) (81 x 114 cm) Louis Gauffier (1762-1801) Château de Fontainebleauelles viennent voir la famille de Coriolan dont on voit la cuirasse???
http://notesdemusees.blogspot.fr/2011/04/cholet.html
attribué à Etienne Aubry (1745-1781) - les adieux de Coriolan à sa femme - 1781. Musée de Cholet
pourrait-être le tableau exécuté par Aubry à Rome en 1780 et exposé au Salon en 1781, peu après la mort du peintre (dit la base Joconde)
pas de casque!... tout à fait comme mon tableau! sauf le style...
la photo doit représenter le petit tableau car le grand tableau est beaucoup plus fini
http://www.photo.rmn.fr/archive/95-011343-2C6NU0N4IX9I.html
70x126 cm
attribué à Etienne Aubry (1745-1781) - Les adieux de Coriolan à sa femme - Salon de 1781? Musée de Cholet
Don de Mme Varichon-Raspail, en 1983
http://www.culture.gouv.fr/public/mistral/cdoa_fr?ACTION=RETROUVER&FIELD_98=AUTR&VALUE_98=AUBRY%20Etienne&NUMBER=2&GRP=0&REQ=%28%28AUBRY%20Etienne%29%20%3aAUTR%20%29&USRNAME=nobody&USRPWD=4%24%2534P&SPEC=3&SYN=1&IMLY=&MAX1=1&MAX2=1&MAX3=50&DOM=All
mais alors qu'est ce que cela :
http://www.beaussant-lefevre.com/html/detailActualite.jsp?idActu=2234
http://www.beaussant-lefevre.com/html/fiche.jsp?id=2315787&np=3&lng=fr&npp=20&ordre=&aff=1&r=
Etienne Aubry (1745-1781) - "Les Adieux de Coriolan à sa femme au moment qu'il part pour se rendre chez les Volsques"
148 704 € frais compris
Record mondial pour l’artiste Etienne AUBRY (Versailles, 1745 - Versailles, 1781) Les adieux de Coriolan à sa femme Huile sur toile, rentoilée. 145 x 196 cm. Cadre en bois doré, estampillé Infroit. Historique : Collection Jacques Augustin de Silvestre (1719-1809), Professeur de dessin des Enfants de France. Vente M. de Silvestre, Paris, 28 février-25 mars 1811, n° 1, avec dimensions. Exposition : Paris, Salon de 1781, n° 134. (Lot 228 de la vente du 23 mars 2012 – Mobilier du château de Digoine) .... ne pas confondre avec "tableau néo-classique alors attribué à Etienne Aubry et déposé au musée de Cholet"
C'est beaucoup plus dans le style d'Etienne Aubry
http://www.augustins.org/les-collections/peintures/xviiie/peinture-d-histoire
Louis Jean François Lagrenée (1725-1805) Coriolan chez les Volsques, avant 1764 - Musée des Augustins - Toulouse"l'un des équivalents les plus proches de la peinture rococo en Italie"
lire => http://www.augustins.org/documents/10180/98267/Augustins_salon_blanc.pdf
et dans ce tableau une femme montre son sein!
En tout cas maintenant c'est sûr mon tableau doit représenter l'histoire de Coriolan
d'où l'ic0nographie trouvée ici : http://bcs.fltr.ucl.ac.be/ALCIB/Cori/corintrod.htm#Iconographie
I D E N T I F I C A T I O N _ D E _ L ' A U T E U R
Est-ce un Jacques-Louis David ou un de ses élèves?
DAVID 1748-1825
http://histgeo.discipline.ac-lille.fr/numerique/traam/scenario-david
http://www.wga.hu/art/d/david_j/2/201david.jpg
Jacques-Louis David - Le serment des Horaces 1784-85 Musée du Louvre
http://art.rmngp.fr/fr/library/artworks/jacques-louis-david_les-licteurs-rapportent-a-brutus-les-corps-de-ses-fils_huile-sur-toile
Jacques-Louis David - Les licteurs rapportent à Brutus les corps de ses fils (1789)
https://fr.wikipedia.org/wiki/Peinture_n%C3%A9o-classique
Jacques-Louis David - La mort de Socrate 1787, Metropolitan Museum of Art
Le néoclassicisme et les élèves de David : Drouais, Girodet, Fabre et Wicar
=> http://museefabre.montpellier-agglo.com/pdf.php/?filePath=var/storage/original/application/e8c7f50566f4b2d177d7241f080a2c9e.pdf
=> http://histgeo.discipline.ac-lille.fr/numerique/traam/scenario-david
GIRODET
http://upload.wikimedia.org/wikipedia/commons/7/70/Jacques-Louis_David_-_Oath_of_the_Horatii_-_Google_Art_Project.jpg
la copie du tableau de David par Girodet - Musée de Toledo (130 x 167 cm)
http://www.rocbor.net/GeomSecPeintres/girodet.htm
http://www.artliste.com/anne-louis-girodet/hippocrate-refusant-presents-artaxerxes-565.html
Girodet - Hipocrates refusant les dons d'Artaxerxès I (1792) Paris, Musée d'Histoire de la Médecine
Oeuvre peinte pour le compte du docteur Trioson. Celui-ci la légua à la faculté de médecine de Paris en 1816.
Artaxerxès appela Hippocrate pour combattre une épidémie qui décimait l'armée perse. Hippocrate refusa les offres magnifiques par lesquelles on voulait le séduire, et répondit au satrape chargé de cette mission que l'honneur lui défendait de secourir les ennemis de sa patrie. Hippocrate, assis près d'une console antique, repousse les richesses que jettent à ses pieds les envoyés du Grand Roi.
http://www.cancer-et-metabolisme.fr/le-cancer-a-travers-les-ages-460-av-j-c/
http://www.telegraph.co.uk/news/science/science-news/11880153/Drug-mentioned-by-Hippocrates-may-reverse-Alzheimers-memory-loss.html
http://www.arcadja.com/auctions/fr/hippocrate_refuse_les_pr%C3%A9sents_d_arta/artwork/promo/6409086/1450531024/
Hippocrate refuse les présents d'Artaxerxes pour mettre un terme à la peste en Perse (42 x 30 cm)
non signée - élève de Girodet, 1767-1824
http://www.musee-girodet.fr/les-premiers-succes-1789-1806
Girodet- Horace tuant sa soeur Camille - 1785 - (148 x 1158 cm) Musée Girodet (Montargis)
AUBRY Etienne
voir ci-dessus les coriolan
DROUAIS Jean-Germain (1763-1788)
Jean-Germain Drouais - Le retour du fils prodique
FABRE François-Xavier 1766-1828
François-Xavier Fabre - Cimon et Pero
WICAR Jean-Baptiste
http://www.photo.rmn.fr/cf/htm/CSearchZ.aspx?o=&Total=50&FP=10252&E=2K1KTSGIBLJ2P&SID=2K1KTSGIBLJ2P&New=T&Pic=5&SubE=2C6NU0SJAFCM
Jean-Baptiste Wicar - Le jugement de Salomon - 1785 - Musée de Lille
http://www.worcesterart.org/collection/European/1991.47.html
Jean-Baptiste Wicar - Electre recevant les cendres de son frère Oreste (1826-27) Worcester Art Museum - Massachusetts USA
PEYRON Jean-François
http://www.nationalgallery.org.uk/paintings/jean-francois-pierre-peyron-belisarius-receiving-hospitality-from-a-peasant
Jean-François Peyron - Belisarius recevant l'hospitalité d'un paysan - 1779 - (55 x 84,5 cm) National Gallery de Londres
http://www.augustins.org/documents/10180/98267/Augustins_salon_blanc.pdf
http://www.augustins.org/les-collections/peintures/xviiie/panorama-des-oeuvres/-/oeuvre/36235
Jean-François Peyron - Bélisaire recevant l'hospitalité d'un paysan ayant servi sous ses ordres (1779) - (137 x 93 cm) Musée des Augustins (Toulouse)
DEGEORGE Thomas né le 8 octobre 1786 à Blanzat (Puy-de-Dôme) et mort le 21 novembre 1854 à Clermont-Ferrand
http://notesdemusees.blogspot.fr/2009/03/clermont-ferrand.html
Thomas Degeorge - Ulysse tue les prétendants - 1812 - muséee Roger Quillot Montferrand
Alors élève de Jacques Louis David (1748-1825), Thomas Degeorge concourt pour le prix de Rome de 1812 avec ce sujet néoclassique. Ce tableau illustre un épisode du chant XXII de l'Odyssée, la célèbre épopée du poète grec Homère (VIIIe siècle avant J.C).
http://www.culture.gouv.fr/public/mistral/joconde_fr?ACTION=RETROUVER&FIELD_98=REPR&VALUE_98=Ulysse&NUMBER=37&GRP=0&REQ=%28%28Ulysse%29%20%3aREPR%20%29&USRNAME=nobody&USRPWD=4%24%2534P&SPEC=5&SYN=1&IMLY=&MAX1=1&MAX2=1&MAX3=100&DOM=All
http://notesdemusees.blogspot.fr/2009/03/clermont-ferrand.html
Thomas Degeorge - La Mort d’Archimède - Portrait d'Antoine Blatin (1815)
alors vu la région où il se trouve on pourrait penser que ce soit un Degeorge bien que le style ne s'en approche pas tellement. Hypothèse ridicule car Degeorge a quitté Clermont pour rejoindre Paris où il a été élève de Jacques-Louis David à l'âge de 16 ans...
les adieux de Coriolan à sa femme? par xxx? en ???
ou plutôt Véturie, la mère, et Volumnie, la femme, de Coriolan le suppliant d'épargner Rome et de repartir en exil, c'est à dire "Coriolan, Véturie et Volumnie"
Quant à la composition presque pentagonale on penserait aux bergers d'Arcadie de Nicolas Poussin mais c'est beaucoup plus ancien et il met des paysages mieux traités.
Quant à la lumière ce n'est quand même pas Le caravage...
Quant à la femme qui montre son sein, on ne trouve pas souvent cette symbolique, c'est peut être une piste?
style de Girodet? mais Girodet a vite abandonné ce style de peinture d'histoire...
Sauriez-vous m'éclairer?
C'est une petite étude (32x41 cm) pour un grand tableau comme j'ai pu en voir au moins une au musée Roger Quillot de Montferrand (près de Clermont) :
Thomas Degeorge (1786-1854) Diagoras porté en triomphe par son fils - 1814
I D E N T I F I C A T I O N _ D U _ S U J E T
je n'arrive pas à deviner le sujet de l'histoire : il est habillé en romain et semble faire des adieux. La femme dont il tient le bras a un nourrisson, une autre le supplie, une troisième montre son sein en signe de ...
Serait-ce Joseph reconnu par ses frères?
http://www.academie-des-beaux-arts.fr/actualites/expositions/exposition_girodet.asp
Joseph reconnu par ses frères par Anne-Louis Girodet de Roucy-Trioson dit plus simplement Girodet
Prix de peinture de l'Académie royale 1789, huile sur toile, 113 x 144 cm
mais il ne tient pas la main d'une mère allaitant et n'est pas entouré de femmes suppliantes. Cependant le décor me faisait penser à celui de l'oeuvre attribuée...
On pourrait penser à Coriolan mais il est généralement en cuirasse....
http://www.elsalvador.com/articulo/entretenimiento/coriolanus-william-shakespeare-hombre-sangre-nino-lagrimas-55855
Jean-Jacques AVRIL le jeune (1771 - 1835) - Coriolan et Véturie
Gravure sur cuivre d'après Jean-Jacques Le Barbier (1738-1826) (815 x 650 mm) en vente ici http://wwwcano.lagravure.com/6_avril.htm
http://notesdemusees.blogspot.fr/2008/06/caen.html
Giovanni Francesco Barbieri, dit Le Guerchin (1591-1666) : Coriolan supplié par sa mère. Grand tableau monumental. (1643) Musée de Caen
http://www.museen-heilbronn.de/kunsthalle/ausstellung/rueckblick/ausstellungen_2011/fueger/
Heinrich Friedrich Füger (1751 – 1818, allemand) Véturie implore Coriolan d'épargner Rome - musée de la ville d'Heilbronn
On note que Coriolan a la même tête que dans mon tableau!!!
http://www.photo.rmn.fr/archive/93-004777-01-2C6NU0H9VZP5.html
Dames romaines suppliant Coristan (sic!) (81 x 114 cm) Louis Gauffier (1762-1801) Château de Fontainebleau
http://notesdemusees.blogspot.fr/2011/04/cholet.html
attribué à Etienne Aubry (1745-1781) - les adieux de Coriolan à sa femme - 1781. Musée de Cholet
pourrait-être le tableau exécuté par Aubry à Rome en 1780 et exposé au Salon en 1781, peu après la mort du peintre (dit la base Joconde)
pas de casque!... tout à fait comme mon tableau! sauf le style...
la photo doit représenter le petit tableau car le grand tableau est beaucoup plus fini
http://www.photo.rmn.fr/archive/95-011343-2C6NU0N4IX9I.html
70x126 cm
attribué à Etienne Aubry (1745-1781) - Les adieux de Coriolan à sa femme - Salon de 1781? Musée de Cholet
Don de Mme Varichon-Raspail, en 1983
http://www.culture.gouv.fr/public/mistral/cdoa_fr?ACTION=RETROUVER&FIELD_98=AUTR&VALUE_98=AUBRY%20Etienne&NUMBER=2&GRP=0&REQ=%28%28AUBRY%20Etienne%29%20%3aAUTR%20%29&USRNAME=nobody&USRPWD=4%24%2534P&SPEC=3&SYN=1&IMLY=&MAX1=1&MAX2=1&MAX3=50&DOM=All
mais alors qu'est ce que cela :
http://www.beaussant-lefevre.com/html/detailActualite.jsp?idActu=2234
http://www.beaussant-lefevre.com/html/fiche.jsp?id=2315787&np=3&lng=fr&npp=20&ordre=&aff=1&r=
Etienne Aubry (1745-1781) - "Les Adieux de Coriolan à sa femme au moment qu'il part pour se rendre chez les Volsques"
148 704 € frais compris
Record mondial pour l’artiste Etienne AUBRY (Versailles, 1745 - Versailles, 1781) Les adieux de Coriolan à sa femme Huile sur toile, rentoilée. 145 x 196 cm. Cadre en bois doré, estampillé Infroit. Historique : Collection Jacques Augustin de Silvestre (1719-1809), Professeur de dessin des Enfants de France. Vente M. de Silvestre, Paris, 28 février-25 mars 1811, n° 1, avec dimensions. Exposition : Paris, Salon de 1781, n° 134. (Lot 228 de la vente du 23 mars 2012 – Mobilier du château de Digoine) .... ne pas confondre avec "tableau néo-classique alors attribué à Etienne Aubry et déposé au musée de Cholet"
C'est beaucoup plus dans le style d'Etienne Aubry
http://www.augustins.org/les-collections/peintures/xviiie/peinture-d-histoire
Louis Jean François Lagrenée (1725-1805) Coriolan chez les Volsques, avant 1764 - Musée des Augustins - Toulouse
lire => http://www.augustins.org/documents/10180/98267/Augustins_salon_blanc.pdf
et dans ce tableau une femme montre son sein!
En tout cas maintenant c'est sûr mon tableau doit représenter l'histoire de Coriolan
d'où l'ic0nographie trouvée ici : http://bcs.fltr.ucl.ac.be/ALCIB/Cori/corintrod.htm#Iconographie
wiki a écrit: En 488 av. J.-C., Coriolan, exilé, haïssant Rome et surtout ses tribuns, refuse toute négociation et marche sur Rome. Mais Coriolan cède aux prières de sa mère et de sa femme, et se retire.
I D E N T I F I C A T I O N _ D E _ L ' A U T E U R
Est-ce un Jacques-Louis David ou un de ses élèves?
DAVID 1748-1825
http://histgeo.discipline.ac-lille.fr/numerique/traam/scenario-david
http://www.wga.hu/art/d/david_j/2/201david.jpg
Jacques-Louis David - Le serment des Horaces 1784-85 Musée du Louvre
http://art.rmngp.fr/fr/library/artworks/jacques-louis-david_les-licteurs-rapportent-a-brutus-les-corps-de-ses-fils_huile-sur-toile
Jacques-Louis David - Les licteurs rapportent à Brutus les corps de ses fils (1789)
https://fr.wikipedia.org/wiki/Peinture_n%C3%A9o-classique
Jacques-Louis David - La mort de Socrate 1787, Metropolitan Museum of Art
Le néoclassicisme et les élèves de David : Drouais, Girodet, Fabre et Wicar
=> http://museefabre.montpellier-agglo.com/pdf.php/?filePath=var/storage/original/application/e8c7f50566f4b2d177d7241f080a2c9e.pdf
=> http://histgeo.discipline.ac-lille.fr/numerique/traam/scenario-david
GIRODET
http://upload.wikimedia.org/wikipedia/commons/7/70/Jacques-Louis_David_-_Oath_of_the_Horatii_-_Google_Art_Project.jpg
la copie du tableau de David par Girodet - Musée de Toledo (130 x 167 cm)
http://www.rocbor.net/GeomSecPeintres/girodet.htm
http://www.artliste.com/anne-louis-girodet/hippocrate-refusant-presents-artaxerxes-565.html
Girodet - Hipocrates refusant les dons d'Artaxerxès I (1792) Paris, Musée d'Histoire de la Médecine
Oeuvre peinte pour le compte du docteur Trioson. Celui-ci la légua à la faculté de médecine de Paris en 1816.
Artaxerxès appela Hippocrate pour combattre une épidémie qui décimait l'armée perse. Hippocrate refusa les offres magnifiques par lesquelles on voulait le séduire, et répondit au satrape chargé de cette mission que l'honneur lui défendait de secourir les ennemis de sa patrie. Hippocrate, assis près d'une console antique, repousse les richesses que jettent à ses pieds les envoyés du Grand Roi.
http://www.cancer-et-metabolisme.fr/le-cancer-a-travers-les-ages-460-av-j-c/
http://www.telegraph.co.uk/news/science/science-news/11880153/Drug-mentioned-by-Hippocrates-may-reverse-Alzheimers-memory-loss.html
http://www.arcadja.com/auctions/fr/hippocrate_refuse_les_pr%C3%A9sents_d_arta/artwork/promo/6409086/1450531024/
Hippocrate refuse les présents d'Artaxerxes pour mettre un terme à la peste en Perse (42 x 30 cm)
non signée - élève de Girodet, 1767-1824
http://www.musee-girodet.fr/les-premiers-succes-1789-1806
Girodet- Horace tuant sa soeur Camille - 1785 - (148 x 1158 cm) Musée Girodet (Montargis)
AUBRY Etienne
voir ci-dessus les coriolan
DROUAIS Jean-Germain (1763-1788)
Jean-Germain Drouais - Le retour du fils prodique
FABRE François-Xavier 1766-1828
François-Xavier Fabre - Cimon et Pero
WICAR Jean-Baptiste
http://www.photo.rmn.fr/cf/htm/CSearchZ.aspx?o=&Total=50&FP=10252&E=2K1KTSGIBLJ2P&SID=2K1KTSGIBLJ2P&New=T&Pic=5&SubE=2C6NU0SJAFCM
Jean-Baptiste Wicar - Le jugement de Salomon - 1785 - Musée de Lille
http://www.worcesterart.org/collection/European/1991.47.html
Jean-Baptiste Wicar - Electre recevant les cendres de son frère Oreste (1826-27) Worcester Art Museum - Massachusetts USA
PEYRON Jean-François
http://www.nationalgallery.org.uk/paintings/jean-francois-pierre-peyron-belisarius-receiving-hospitality-from-a-peasant
Jean-François Peyron - Belisarius recevant l'hospitalité d'un paysan - 1779 - (55 x 84,5 cm) National Gallery de Londres
http://www.augustins.org/documents/10180/98267/Augustins_salon_blanc.pdf
http://www.augustins.org/les-collections/peintures/xviiie/panorama-des-oeuvres/-/oeuvre/36235
Jean-François Peyron - Bélisaire recevant l'hospitalité d'un paysan ayant servi sous ses ordres (1779) - (137 x 93 cm) Musée des Augustins (Toulouse)
notice a écrit:Jean-François Peyron fut l’un des grands peintres d’histoire du néoclassicisme français avant l’affirmation de David
Daté de 1781, le tableau présente toutes les caractéristiques du néoclassicisme : composition en frise devant une fabrique antique, sobriété des expressions, austérité des couleurs. Le jeune Ingres copia ce tableau dans un dessin réalisé au cours de sa formation toulousaine.
DEGEORGE Thomas né le 8 octobre 1786 à Blanzat (Puy-de-Dôme) et mort le 21 novembre 1854 à Clermont-Ferrand
http://notesdemusees.blogspot.fr/2009/03/clermont-ferrand.html
Thomas Degeorge - Ulysse tue les prétendants - 1812 - muséee Roger Quillot Montferrand
Alors élève de Jacques Louis David (1748-1825), Thomas Degeorge concourt pour le prix de Rome de 1812 avec ce sujet néoclassique. Ce tableau illustre un épisode du chant XXII de l'Odyssée, la célèbre épopée du poète grec Homère (VIIIe siècle avant J.C).
http://www.culture.gouv.fr/public/mistral/joconde_fr?ACTION=RETROUVER&FIELD_98=REPR&VALUE_98=Ulysse&NUMBER=37&GRP=0&REQ=%28%28Ulysse%29%20%3aREPR%20%29&USRNAME=nobody&USRPWD=4%24%2534P&SPEC=5&SYN=1&IMLY=&MAX1=1&MAX2=1&MAX3=100&DOM=All
http://notesdemusees.blogspot.fr/2009/03/clermont-ferrand.html
Thomas Degeorge - La Mort d’Archimède - Portrait d'Antoine Blatin (1815)
alors vu la région où il se trouve on pourrait penser que ce soit un Degeorge bien que le style ne s'en approche pas tellement. Hypothèse ridicule car Degeorge a quitté Clermont pour rejoindre Paris où il a été élève de Jacques-Louis David à l'âge de 16 ans...
les adieux de Coriolan à sa femme? par xxx? en ???
ou plutôt Véturie, la mère, et Volumnie, la femme, de Coriolan le suppliant d'épargner Rome et de repartir en exil, c'est à dire "Coriolan, Véturie et Volumnie"
Quant à la composition presque pentagonale on penserait aux bergers d'Arcadie de Nicolas Poussin mais c'est beaucoup plus ancien et il met des paysages mieux traités.
- Spoiler:
http://theudericus.free.fr/Esoterisme/RLC/Image_Bergers_Arcadie.htm
Quant à la lumière ce n'est quand même pas Le caravage...
Quant à la femme qui montre son sein, on ne trouve pas souvent cette symbolique, c'est peut être une piste?
style de Girodet? mais Girodet a vite abandonné ce style de peinture d'histoire...
Sauriez-vous m'éclairer?
Dernière édition par Ulysse92 le Mer 21 Sep 2016 - 20:41, édité 28 fois (Raison : correction et indication des sources + images plus grandes)
Mes doutes... s'estompent pour Coriolan
LE SUJET
je ne suis pas encore tout à fait sûr que le sujet de ce tableau soit bien Coriolan
ce qui m'étonne :
LA COMPOSITION
La composition presque pentagonale
LE LOCAL AVEC L'OMBRE DU FOND EN DIAGONALE ET LA LUMIERE
La lumière n'est pas caravagesque mais centrée sur le sujet principal
Le décor avec des voutes romaines gris-verdâtre barrées par une ombre, on en voit déjà au XVIIème siècle dans Nicolas POUSSIN (1594-1665) :
https://en.wikipedia.org/wiki/Extreme_Unction,_c._1638-1640
Nicolas Poussin - L'extrême onction - huile sur toile, 95,5 x 121 cm (vers 1636-1640) Cambridge, Fitzwilliam Museum
première série des Sept Sacrements peinte par Poussin pour Cassiano Dal Pozzo
Voilà vraiment le tableau au style le plus proche du mien
Mais Poussin a déjà traité Coriolan... et bien différemment
http://www.museenicolaspoussin.fr/index.php/collections/coriolan
Nicolas Poussin - Coriolan supplié par sa famille, vers 1652, Musée Nicolas Poussin, Les Andelys (détail central)
http://www.harvardartmuseums.org/collections?q=coriolan
Gravure de Benoît Audran l'ancien d'après Poussin - Harvard Art Museumlà on voit le tableau en entier!
et dans le même musée on trouve
http://www.harvardartmuseums.org/collections?q=coriolan
Coriolan refusant de voir les ambassadeurs romains
gravure de Charles de La Haye, d'après Ciro Ferri, 1651 - 1707
ce qui nous emmène vers...
https://iamachild.wordpress.com/tag/coriolanus/
Erasmus Quellinus - Coriolan supplié d'épargner Rome
https://iamachild.wordpress.com/tag/coriolanus/
Erasmus Quellinus - Volumnia et ses enfants devant Coriolan
mais là on est en plein baroque!...
En fait il s'agirait d'un peintre néoclassique qui adore le style de certains tableaux de Poussin
Puis beaucoup plus tard mais avant la révolution on voit un décor artificiel du même genre chez :
Bélisaire recevant l’hospitalité d’un paysan ayant servi sous ses ordres - 1779 (voir image plus haut)
http://www.augustins.org/documents/10180/98267/Augustins_salon_blanc.pdf
http://theredlist.com/wiki-2-351-861-414-400-416-view-neoclassicism-profile-peyron-pierre.html#photo
Jean-François-Pierre Peyron - La mort de Socrate 1787 (130 x 196 cm) MOMA
http://theredlist.com/wiki-2-351-861-414-400-416-view-neoclassicism-profile-peyron-pierre.html#photo
Jean-François-Pierre Peyron - La mort de Socrate 1787 (98 x 133 cm) musée d'art d'état de Copenhague
http://theredlist.com/wiki-2-351-861-414-400-416-view-neoclassicism-profile-peyron-pierre.html#photo
Jean-François-Pierre Peyron - Cornelia, mère des Gracques 1781 (54,5 x 84,5 cm)
il a vécu très peu et produit assez peu
mais si ses drapés sont voisins de mon tableau il aime trop peindre les corps d'homme ce qu'il n'y a pas dans mon tableau.
en 1782 il produit le retour du fils prodigue. (voir image plus haut)
http://www.artexpertswebsite.com/pages/artists/drouais.php
Jean-Germain Drouais - Etude pour Marius, Prisonnier à Minturnes
LE STYLE ET L'EPOQUE
le style parait plus ancien que la fin du XVIIIème et pourtant c'est bien un sujet à la JL DAVID comme le serment des Horaces
les sujets sont trop mis en reliefs (ou alors est-ce que c'est un tout petit tableau, l'ébauche d'un grand???)
AUTRE AXE DE RECHERCHE : LE PRIX DE ROME
En allant sur wiki et en regardant les différents tableaux primés on voit l'évolution de la mode et du style...
au XVIIème http://fr.wikipedia.org/wiki/Prix_de_Rome#Peinture_XVIIe.C2.A0si.C3.A8cle
au XVIIIème http://fr.wikipedia.org/wiki/Prix_de_Rome#Peinture_XVIIe.C2.A0si.C3.A8cle
En 1789 à la révolution on voit un GIRODET impressionnant, Joseph reconnu par ses frères, au décor semblable, à la composition complexe (voir image plus haut)
François GERARD a le 2ème prix avec le même sujet
en 1797 5 peintres peignent le même sujet presque dans le même style : La mort de Caton d’Utique
1er prix : Pierre-Narcisse Guérin, Louis André Gabriel Bouchet, Pierre Bouillon,
2ème prix : Louis Hersent et Mathieu-Ignace Van Brée
Pierre-Narcisse Guérin - Musée de Vizille http://notesdemusees.blogspot.fr/2011/05/vizille.htmlle plus proche du style de mon tableau et pourtant il est capable de faire des oeuvres tellement plus attirantes
http://gandalfsgallery.blogspot.fr/2014/11/pierre-narcisse-guerin-jeune-fille-en.html
Pierre-Narcisse Guérin - Jeune Fille en Buste (1794) 50,2 x 60,6 cm - Musée du Louvre
les autres on ne peut pas forcément voir leurs oeuvres
je ne suis pas encore tout à fait sûr que le sujet de ce tableau soit bien Coriolan
Tite-Live livre II a écrit:XL. [1] Alors, les dames romaines se rendent en foule auprès de Véturie, mère de Coriolan, et de Volumnie sa femme. Cette démarche fut-elle le résultat d'une délibération publique, ou l'effet d'une crainte naturelle à ce sexe ? je ne saurais le décider. [2] Ce qu'il y a de certain, c'est qu'elles obtinrent que Véturie, malgré son grand âge, et Volumnie, portant dans ses bras deux fils qu'elle avait eus de Marcius, viendraient avec elles dans le camp des ennemis, et que, femmes, elles défendissent, par les larmes et les prières, cette ville que les hommes ne pouvaient défendre par les armes. [3] Dès qu'elles furent arrivées devant le camp, et qu'on eut annoncé à Coriolan qu'une troupe nombreuse de femmes se présente; lui que, ni la majesté de la république, dans la personne de ses ambassadeurs, ni l'appareil touchant et sacré de la religion, dans la personne de ses prêtres, n'avait pu émouvoir, se promettait d'être plus insensible encore à des larmes féminines. [4] Mais, quelqu'un de sa suite ayant reconnu, dans la foule, Véturie, remarquable par l'excès de sa douleur, debout au milieu de sa bru et de ses petits-enfants, vint lui dire : « Si mes yeux ne me trompent, ta mère, ta femme et tes enfants sont ici. » [5] Coriolan, éperdu et comme hors de lui-même, s'élance de son siège, et court au-devant de sa mère pour l'embrasser; mais elle, passant tout à coup des prières à l'indignation : « Arrête, lui dit-elle, avant de recevoir tes embrassements, que je sache si je viens auprès d'un ennemi ou d'un fils; et si dans ton camp je suis ta captive ou ta mère ? [6] N'ai-je donc tant vécu, ne suis-je parvenue à cette déplorable vieillesse, que pour te voir exilé, puis armé contre ta patrie ? As-tu bien pu ravager cette terre qui t'a donné le jour, et qui t'a nourri ? [7] Malgré ton ressentiment et tes menaces, ton courroux, en franchissant nos frontières, ne s'est pas apaisé à la vue de Rome; tu ne t'es pas dit : derrière ces murailles sont ma maison, mes pénates, ma mère, ma femme et mes enfants ? [8] Ainsi donc, si je n'avais point été mère, Rome ne serait point assiégée; si je n'avais point de fils, je mourrais libre dans une patrie libre. Pour moi, désormais, je n'ai plus rien à craindre qui ne soit plus honteux pour toi, que malheureux pour ta mère, et quelque malheureuse que je sois, je ne le serai pas longtemps. [9] Mais, ces enfants, songe à eux : si tu persistes, une mort prématurée les attend ou une longue servitude. » À ces mots, l'épouse et les enfants de Coriolan l'embrassent ; les larmes que versent toutes ces femmes, leurs gémissements sur leur sort et sur celui de la patrie, brisent enfin ce cœur inflexible; [10] après avoir serré sa famille dans ses bras, il la congédie, et va camper à une plus grande distance de Rome; ensuite, il fit sortir les légions du territoire romain, et périt, dit-on, victime de la haine qu'il venait d'encourir. D'autres historiens rapportent sa mort d'une manière différente. Je lis dans Fabius, le plus ancien de tous, qu'il vécut jusqu'à un âge avancé; [11] du moins, il rapporte que souvent il répétait, à la fin de sa vie : « L'exil est bien plus pénible pour un vieillard. » Les Romains n'envièrent point aux femmes la gloire qu'elles venaient d'acquérir; tant l'on connaissait peu alors l'envie qui rabaisse le mérite d'autrui. [12] Pour perpétuer le souvenir de cet événement, un temple fut élevé, et on le consacra à la fortune des femmes.
http://remacle.org/bloodwolf/historiens/Tite/livre2.htm
ce qui m'étonne :
- C'est qu'il ne soit pas armé mais bien entendu il y a un tableau du même genre
- Si c'est Véturie qui est devant avec son petit-fils elle parait trop jeune. Volumnie avec son enfant au sein et son bras presque maltraité
- Ou alors Véturie, la mère, c'est cette femme qui montre son sein?
- Derrière essayant de protéger la femme à l'enfant il y a semble-t'il le beau-père et la belle-mère
- Il y a un couple qui est témoin proche (encore un homme? alors qu'on dit que ce sont les seules femmes qui l'ont fléchi!) La femme a les mains qui supplient!
- à gauche c'est qui ces 2 comploteurs? L'un des hommes a les mains qui supplient!
- au fond c'est qui ces 2 femmes qui se congratulent ou s'affolent?
LA COMPOSITION
La composition presque pentagonale
LE LOCAL AVEC L'OMBRE DU FOND EN DIAGONALE ET LA LUMIERE
La lumière n'est pas caravagesque mais centrée sur le sujet principal
Le décor avec des voutes romaines gris-verdâtre barrées par une ombre, on en voit déjà au XVIIème siècle dans Nicolas POUSSIN (1594-1665) :
https://en.wikipedia.org/wiki/Extreme_Unction,_c._1638-1640
Nicolas Poussin - L'extrême onction - huile sur toile, 95,5 x 121 cm (vers 1636-1640) Cambridge, Fitzwilliam Museum
première série des Sept Sacrements peinte par Poussin pour Cassiano Dal Pozzo
Voilà vraiment le tableau au style le plus proche du mien
Mais Poussin a déjà traité Coriolan... et bien différemment
http://www.museenicolaspoussin.fr/index.php/collections/coriolan
Nicolas Poussin - Coriolan supplié par sa famille, vers 1652, Musée Nicolas Poussin, Les Andelys (détail central)
http://www.harvardartmuseums.org/collections?q=coriolan
Gravure de Benoît Audran l'ancien d'après Poussin - Harvard Art Museum
et dans le même musée on trouve
http://www.harvardartmuseums.org/collections?q=coriolan
Coriolan refusant de voir les ambassadeurs romains
gravure de Charles de La Haye, d'après Ciro Ferri, 1651 - 1707
ce qui nous emmène vers...
Erasmus Quellinus (1607 – 1678, Belge)
https://iamachild.wordpress.com/tag/coriolanus/
Erasmus Quellinus - Coriolan supplié d'épargner Rome
https://iamachild.wordpress.com/tag/coriolanus/
Erasmus Quellinus - Volumnia et ses enfants devant Coriolan
mais là on est en plein baroque!...
En fait il s'agirait d'un peintre néoclassique qui adore le style de certains tableaux de Poussin
Puis beaucoup plus tard mais avant la révolution on voit un décor artificiel du même genre chez :
Jean-François-Pierre PEYRON (1754-1814)
Bélisaire recevant l’hospitalité d’un paysan ayant servi sous ses ordres - 1779 (voir image plus haut)
http://www.augustins.org/documents/10180/98267/Augustins_salon_blanc.pdf
http://theredlist.com/wiki-2-351-861-414-400-416-view-neoclassicism-profile-peyron-pierre.html#photo
Jean-François-Pierre Peyron - La mort de Socrate 1787 (130 x 196 cm) MOMA
http://theredlist.com/wiki-2-351-861-414-400-416-view-neoclassicism-profile-peyron-pierre.html#photo
Jean-François-Pierre Peyron - La mort de Socrate 1787 (98 x 133 cm) musée d'art d'état de Copenhague
http://theredlist.com/wiki-2-351-861-414-400-416-view-neoclassicism-profile-peyron-pierre.html#photo
Jean-François-Pierre Peyron - Cornelia, mère des Gracques 1781 (54,5 x 84,5 cm)
Jean-Germain DROUAIS (1763-1788)
il a vécu très peu et produit assez peu
mais si ses drapés sont voisins de mon tableau il aime trop peindre les corps d'homme ce qu'il n'y a pas dans mon tableau.
- Spoiler:
http://alchetron.com/Jean-Germain-Drouais-1101400-W
Jean-Germain Drouais - Gladiateur assis
http://webmuseo.com/ws/musees-narbonne/app/collection/record/156
Jean-Germain Drouais - Torse d'homme renversé (Musée de Narbonne) 81 x 100 cm
http://alchetron.com/Jean-Germain-Drouais-1101400-W
Jean-Germain Drouais -
en 1782 il produit le retour du fils prodigue. (voir image plus haut)
http://www.artexpertswebsite.com/pages/artists/drouais.php
Jean-Germain Drouais - Etude pour Marius, Prisonnier à Minturnes
LE STYLE ET L'EPOQUE
le style parait plus ancien que la fin du XVIIIème et pourtant c'est bien un sujet à la JL DAVID comme le serment des Horaces
les sujets sont trop mis en reliefs (ou alors est-ce que c'est un tout petit tableau, l'ébauche d'un grand???)
AUTRE AXE DE RECHERCHE : LE PRIX DE ROME
En allant sur wiki et en regardant les différents tableaux primés on voit l'évolution de la mode et du style...
au XVIIème http://fr.wikipedia.org/wiki/Prix_de_Rome#Peinture_XVIIe.C2.A0si.C3.A8cle
au XVIIIème http://fr.wikipedia.org/wiki/Prix_de_Rome#Peinture_XVIIe.C2.A0si.C3.A8cle
En 1789 à la révolution on voit un GIRODET impressionnant, Joseph reconnu par ses frères, au décor semblable, à la composition complexe (voir image plus haut)
François GERARD a le 2ème prix avec le même sujet
en 1797 5 peintres peignent le même sujet presque dans le même style : La mort de Caton d’Utique
1er prix : Pierre-Narcisse Guérin, Louis André Gabriel Bouchet, Pierre Bouillon,
2ème prix : Louis Hersent et Mathieu-Ignace Van Brée
Pierre-Narcisse Guérin - Musée de Vizille http://notesdemusees.blogspot.fr/2011/05/vizille.html
http://gandalfsgallery.blogspot.fr/2014/11/pierre-narcisse-guerin-jeune-fille-en.html
Pierre-Narcisse Guérin - Jeune Fille en Buste (1794) 50,2 x 60,6 cm - Musée du Louvre
- Spoiler:
http://www.invaluable.com/artist/guerin-pierre-narcisse-nl5wok6yvq
Pierre-Narcisse Guérin - Sappho
http://theredlist.com/wiki-2-351-861-414-400-416-view-neoclassicism-profile-guerin-pierre-narcisse.html
Pierre-Narcisse Guérin - Académie de femme debout
http://www.invaluable.com/auction-lot/circle-of-pierre-narcisse-guerin,-french-1774-18-314-c-acab063c37
entourage de Guérin - Hélène et Pâris (115,6 x 150,5cm)
http://fineartamerica.com/featured/study-of-a-young-woman-with-her-arms-folded-circle-of-pierre-narcisse-guerin.html
Entourage de Guérin - Etude de jeune femme aux bras croisés
les autres on ne peut pas forcément voir leurs oeuvres
Dernière édition par Ulysse92 le Ven 9 Sep 2016 - 0:19, édité 30 fois
Antoine-François Callet en 1786 comme sans doute mon tableau
nouvelle piste?
https://voxiferaldiana.wordpress.com/tag/yule/
Antoine-Francois Callet- Saturnalia, 1782-3
Antoine-François Callet - Cléobis et Biton conduisent le char de leur mère 1764
http://www.ensba.fr/ow2/catzarts/rechcroisee.xsp?f=Ensemble&v=&f=Auteur_field&v=Callet%2C+Antoine-Fran%C3%A7ois&e=
http://www.ensba.fr/ow2/catzarts/rechsimple.xsp?n=sdx_q1&sf=&p=2&e=&mod=&tr=Antoine-François Callet - Combat de gladiateurs mâles et femelles (sic!), jeu de fêtes saturnales 1787
ce n'est pas une nouvelle piste car le style n'est pas voisin...
mais Antoine-François Callet a peint en 1786 un tableau récemment détourné :
http://rue89.nouvelobs.com/2011/01/22/a-la-messe-avec-les-derniers-nostalgiques-de-louis-xvi-186821
Antoine-François Callet - Portrait de Louis XVI, 1786, musée Carnavalet.
Louis XVI tableau officiel presque d'histoire mais plutôt moche
https://voxiferaldiana.wordpress.com/tag/yule/
Antoine-Francois Callet- Saturnalia, 1782-3
Antoine-François Callet - Cléobis et Biton conduisent le char de leur mère 1764
http://www.ensba.fr/ow2/catzarts/rechcroisee.xsp?f=Ensemble&v=&f=Auteur_field&v=Callet%2C+Antoine-Fran%C3%A7ois&e=
http://www.ensba.fr/ow2/catzarts/rechsimple.xsp?n=sdx_q1&sf=&p=2&e=&mod=&tr=
ce n'est pas une nouvelle piste car le style n'est pas voisin...
mais Antoine-François Callet a peint en 1786 un tableau récemment détourné :
http://rue89.nouvelobs.com/2011/01/22/a-la-messe-avec-les-derniers-nostalgiques-de-louis-xvi-186821
Antoine-François Callet - Portrait de Louis XVI, 1786, musée Carnavalet.
Louis XVI tableau officiel presque d'histoire mais plutôt moche
- Spoiler:
magnifique utilisation d'une photo dans un tableau ancien, surchargée d'un jeu de mollet.OncTroll a écrit:
http://mai68.org/spip/spip.php?article8127
http://choeur-montjoie.com/tag/louis-xvi/
Louis XVI (tableau recadré bien meilleur)
http://www.camargue-insolite.com/tag/actualite/18
La reine des s...
https://en.wikipedia.org/wiki/Marie_Antoinette
Portrait de Marie-Antoinette par Jean-Baptiste Gautier Dagoty, 1775. Musée Antoine Lécuyer.
Dernière édition par Ulysse92 le Ven 9 Sep 2016 - 0:23, édité 7 fois
le bon titre pour mon tableau : "Coriolan quitte sa famille pour partir en exil"
AUTRE AXE DE RECHERCHE : LE PRIX DE ROME
En allant sur wiki , voir la liste des prix de Rome en peinture on voit en 1786 :
https://fr.wikipedia.org/wiki/Liste_des_prix_de_Rome_en_peinture
Autres concurrents :
Anne-Louis Girodet : "Coriolan quitte sa famille pour partir en exil" Localisation actuelle inconnue
Jacques Réattu
par ailleurs on lit :
Alors mon tableau serait-il un Girodet, un Réattu ou un autre des élèves de David???
Jacques Réattu a concouru en 1786 pour le prix dont le sujet était Coriolan... mais...
Jacques REATTU (1760-1833)
http://www.musee-reattu.arles.fr/reattu-arelatensis.html
Jacques Réattu - La mort de Tatius 1788 - musée Jacques Réattu (arles)
http://www.musee-reattu.arles.fr/reattu-arelatensis.html
Jacques Réattu - La justification de Suzanne 1790 (grand prix de Rome) dépôt de l'école des Beaux-Arts de Paris
http://www.musee-reattu.arles.fr/reattu-arelatensis.html
Jacques Réattu - La vision de Jacob, huile sur toile, 1792
Comme Coriolan part en exil il n'a plus ses armes. ce n'est pas comme quand sa famille essaie de le convaincre de ne pas attaquer Rome...
le bon titre pour mon tableau serait : "Coriolan quitte sa famille pour partir en exil"
Cela commence à me filer un mal de tête...
http://www.ensba.fr/ow2/catzarts/voir.xsp?id=00101-21848&qid=sdx_q4&n=7&sf=Typedobjet_field&e=
Etienne-Pierre-Adrien Gois (1731-1823) Homme couché sur le dos - 1782
Pour se distraire un peu avec Coriolan il y a :
un parfum de Guerlain baptisé Coriolan
http://cde.publimetro.e3.pe/ima/0/0/0/0/6/6349.jpg
Une ouverture d'opéra de Beethoven :
Leonard Bernstein, Conductor - Wiener Philarmoniker
Dans les archives des Beaux-arts en 1819...
http://www.ensba.fr/ow2/catzarts/voir.xsp?id=00101-27080&qid=sdx_q1&n=33&sf=&e=
Sébastien-Louis-Wilhem Norblin de la Gourdaine (dit Sobeck) - le départ de Coriolan pour l'exil ( 37,5 x 45,5 cm) vers 1811 (Titre forgé) .
En allant sur wiki , voir la liste des prix de Rome en peinture on voit en 1786 :
https://fr.wikipedia.org/wiki/Liste_des_prix_de_Rome_en_peinture
Autres concurrents :
Anne-Louis Girodet : "Coriolan quitte sa famille pour partir en exil" Localisation actuelle inconnue
Jacques Réattu
par ailleurs on lit :
Musée Girodet a écrit:Son tableau, "Coriolan quitte sa famille pour partir en exil" (non localisé) fut jugé supérieur à ceux de ses concurrents mais n’obtint pas le prix resté en réserve en raison de la trop grande similitude des tableaux des élèves de David qui les fit soupçonner d’avoir reçu l’aide de leur maître.
http://www.musee-girodet.fr/vers-le-grand-prix-de-i-academie
Alors mon tableau serait-il un Girodet, un Réattu ou un autre des élèves de David???
Jacques Réattu a concouru en 1786 pour le prix dont le sujet était Coriolan... mais...
Jacques REATTU (1760-1833)
http://www.musee-reattu.arles.fr/reattu-arelatensis.html
Jacques Réattu - La mort de Tatius 1788 - musée Jacques Réattu (arles)
http://www.musee-reattu.arles.fr/reattu-arelatensis.html
Jacques Réattu - La justification de Suzanne 1790 (grand prix de Rome) dépôt de l'école des Beaux-Arts de Paris
http://www.musee-reattu.arles.fr/reattu-arelatensis.html
Jacques Réattu - La vision de Jacob, huile sur toile, 1792
Comme Coriolan part en exil il n'a plus ses armes. ce n'est pas comme quand sa famille essaie de le convaincre de ne pas attaquer Rome...
le bon titre pour mon tableau serait : "Coriolan quitte sa famille pour partir en exil"
Cela commence à me filer un mal de tête...
http://www.ensba.fr/ow2/catzarts/voir.xsp?id=00101-21848&qid=sdx_q4&n=7&sf=Typedobjet_field&e=
Etienne-Pierre-Adrien Gois (1731-1823) Homme couché sur le dos - 1782
Pour se distraire un peu avec Coriolan il y a :
un parfum de Guerlain baptisé Coriolan
http://cde.publimetro.e3.pe/ima/0/0/0/0/6/6349.jpg
Une ouverture d'opéra de Beethoven :
Leonard Bernstein, Conductor - Wiener Philarmoniker
Dans les archives des Beaux-arts en 1819...
http://www.ensba.fr/ow2/catzarts/voir.xsp?id=00101-27080&qid=sdx_q1&n=33&sf=&e=
Sébastien-Louis-Wilhem Norblin de la Gourdaine (dit Sobeck) - le départ de Coriolan pour l'exil ( 37,5 x 45,5 cm) vers 1811 (Titre forgé) .
Dernière édition par Ulysse92 le Mer 22 Nov 2017 - 12:04, édité 2 fois (Raison : erreur d'adressage)
Re: Tentative d'attribution d'un tableau
Vu le style il semble que ce soit un Poussin imité par David ou un autre
https://fr.wikipedia.org/wiki/Charles_Th%C3%A9venin
Charles Thévenin - Joseph reconnu par ses frères (1789), musée des beaux-arts d'Angers.
presque le même style!
Alors je tourne autour de cette époque de 1786 où le sujet était Coriolan...
http://www.mutualart.com/Artist/Guillaume-Guillon-Lethiere/A2339CE90098AA2A/Artworks
Guillaume Guillon Lethière (1760 - 1832) Junius-Brutus condamnant ses fils à mort
le style de ses drapés m'y fait penser
http://www.culture.gouv.fr/public/mistral/joconde_fr?ACTION=CHERCHER&FIELD_2=AUTR&VALUE_2=LETHIERE
Guillaume GUILLON (dit) LETHIERE - La mort de Virginie (ESQUISSE) - 40 x 61 cm - Lille ; musée des beaux-arts
http://www.culture.gouv.fr/public/mistral/joconde_fr?ACTION=RETROUVER&FIELD_1=DOMN&VALUE_1=&FIELD_2=Ctyob&VALUE_2=&FIELD_3=AUTR&VALUE_3=%27GARNIER%20ETIENNE%20BARTHELEMY%27&FIELD_4=Clieu&VALUE_4=&FIELD_5=REPR&VALUE_5=&FIELD_6=Cdate&VALUE_6=&FIELD_7=DECV&VALUE_7=&FIELD_8=LOCA&VALUE_8=&FIELD_9=Mat%e9riaux%2ftechniques&VALUE_9=&FIELD_10=Titre&VALUE_10=&NUMBER=4&GRP=0&REQ=%28%28%27GARNIER%20ETIENNE%20BARTHELEMY%27%29%20%3aAUTR%20%29&USRNAME=nobody&USRPWD=4%24%2534P&SPEC=5&SYN=1&IMLY=&MAX1=1&MAX2=1&MAX3=200&DOM=All
Etienne GARNIER - L'affliction de la famille de Priam - 1792(?) - Mâcon (74 x 99 cm) musée des Ursulines
http://www.culture.gouv.fr/public/mistral/joconde_fr?ACTION=RETROUVER&FIELD_1=DOMN&VALUE_1=&FIELD_2=Ctyob&VALUE_2=&FIELD_3=AUTR&VALUE_3=%27GARNIER%20ETIENNE%20BARTHELEMY%27&FIELD_4=Clieu&VALUE_4=&FIELD_5=REPR&VALUE_5=&FIELD_6=Cdate&VALUE_6=&FIELD_7=DECV&VALUE_7=&FIELD_8=LOCA&VALUE_8=&FIELD_9=Mat%e9riaux%2ftechniques&VALUE_9=&FIELD_10=Titre&VALUE_10=&NUMBER=11&GRP=0&REQ=%28%28%27GARNIER%20ETIENNE%20BARTHELEMY%27%29%20%3aAUTR%20%29&USRNAME=nobody&USRPWD=4%24%2534P&SPEC=5&SYN=1&IMLY=&MAX1=1&MAX2=1&MAX3=200&DOM=All
Etienne Barthelemy GARNIER - Hippolyte, après l'aveu de Phèdre sa belle-mère (107x147 cm) Montauban ; musée Ingres
http://art.rmngp.fr/fr/library/artworks/louis-gauffier_la-generosite-des-dames-romaines_huile-sur-toile
Louis Gauffier : La Générosité des Dames romaines (1790)
http://notesdemusees.blogspot.fr/2009/03/poitiers-ste-croix.html
http://www.culture.gouv.fr/public/mistral/joconde_fr?ACTION=RETROUVER&FIELD_1=DOMN&VALUE_1=&FIELD_2=Ctyob&VALUE_2=&FIELD_3=AUTR&VALUE_3=%27MEYNIER%20CHARLES%27&FIELD_4=Clieu&VALUE_4=&FIELD_5=REPR&VALUE_5=&FIELD_6=Cdate&VALUE_6=&FIELD_7=DECV&VALUE_7=&FIELD_8=LOCA&VALUE_8=&FIELD_9=Mat%e9riaux%2ftechniques&VALUE_9=&FIELD_10=Titre&VALUE_10=&NUMBER=17&GRP=0&REQ=%28%28%27MEYNIER%20CHARLES%27%29%20%3aAUTR%20%29&USRNAME=nobody&USRPWD=4%24%2534P&SPEC=5&SYN=1&IMLY=&MAX1=1&MAX2=1&MAX3=200&DOM=All
charles MEYNIER Alexandre le Grand cédant Campaspe à Apelle - 1822 -Rennes ; musée des beaux-arts
https://fr.wikipedia.org/wiki/Charles_Th%C3%A9venin
Charles Thévenin - Joseph reconnu par ses frères (1789), musée des beaux-arts d'Angers.
presque le même style!
Alors je tourne autour de cette époque de 1786 où le sujet était Coriolan...
http://www.mutualart.com/Artist/Guillaume-Guillon-Lethiere/A2339CE90098AA2A/Artworks
Guillaume Guillon Lethière (1760 - 1832) Junius-Brutus condamnant ses fils à mort
le style de ses drapés m'y fait penser
- Spoiler:
le graveur l'a un peu simplifié
http://www.culture.gouv.fr/public/mistral/joconde_fr?ACTION=CHERCHER&FIELD_2=AUTR&VALUE_2=LETHIERE
Pierre Charles COQUERET gravure d'après Guillaume GUILLON (dit) LETHIERE
Junius-Brutus condamnant ses fils à mort - Dole ; musée des beaux-arts
http://www.culture.gouv.fr/public/mistral/joconde_fr?ACTION=CHERCHER&FIELD_2=AUTR&VALUE_2=LETHIERE
Guillaume GUILLON (dit) LETHIERE - La mort de Virginie (ESQUISSE) - 40 x 61 cm - Lille ; musée des beaux-arts
http://www.culture.gouv.fr/public/mistral/joconde_fr?ACTION=RETROUVER&FIELD_1=DOMN&VALUE_1=&FIELD_2=Ctyob&VALUE_2=&FIELD_3=AUTR&VALUE_3=%27GARNIER%20ETIENNE%20BARTHELEMY%27&FIELD_4=Clieu&VALUE_4=&FIELD_5=REPR&VALUE_5=&FIELD_6=Cdate&VALUE_6=&FIELD_7=DECV&VALUE_7=&FIELD_8=LOCA&VALUE_8=&FIELD_9=Mat%e9riaux%2ftechniques&VALUE_9=&FIELD_10=Titre&VALUE_10=&NUMBER=4&GRP=0&REQ=%28%28%27GARNIER%20ETIENNE%20BARTHELEMY%27%29%20%3aAUTR%20%29&USRNAME=nobody&USRPWD=4%24%2534P&SPEC=5&SYN=1&IMLY=&MAX1=1&MAX2=1&MAX3=200&DOM=All
Etienne GARNIER - L'affliction de la famille de Priam - 1792(?) - Mâcon (74 x 99 cm) musée des Ursulines
http://www.culture.gouv.fr/public/mistral/joconde_fr?ACTION=RETROUVER&FIELD_1=DOMN&VALUE_1=&FIELD_2=Ctyob&VALUE_2=&FIELD_3=AUTR&VALUE_3=%27GARNIER%20ETIENNE%20BARTHELEMY%27&FIELD_4=Clieu&VALUE_4=&FIELD_5=REPR&VALUE_5=&FIELD_6=Cdate&VALUE_6=&FIELD_7=DECV&VALUE_7=&FIELD_8=LOCA&VALUE_8=&FIELD_9=Mat%e9riaux%2ftechniques&VALUE_9=&FIELD_10=Titre&VALUE_10=&NUMBER=11&GRP=0&REQ=%28%28%27GARNIER%20ETIENNE%20BARTHELEMY%27%29%20%3aAUTR%20%29&USRNAME=nobody&USRPWD=4%24%2534P&SPEC=5&SYN=1&IMLY=&MAX1=1&MAX2=1&MAX3=200&DOM=All
Etienne Barthelemy GARNIER - Hippolyte, après l'aveu de Phèdre sa belle-mère (107x147 cm) Montauban ; musée Ingres
http://art.rmngp.fr/fr/library/artworks/louis-gauffier_la-generosite-des-dames-romaines_huile-sur-toile
Louis Gauffier : La Générosité des Dames romaines (1790)
http://notesdemusees.blogspot.fr/2009/03/poitiers-ste-croix.html
http://www.culture.gouv.fr/public/mistral/joconde_fr?ACTION=RETROUVER&FIELD_1=DOMN&VALUE_1=&FIELD_2=Ctyob&VALUE_2=&FIELD_3=AUTR&VALUE_3=%27MEYNIER%20CHARLES%27&FIELD_4=Clieu&VALUE_4=&FIELD_5=REPR&VALUE_5=&FIELD_6=Cdate&VALUE_6=&FIELD_7=DECV&VALUE_7=&FIELD_8=LOCA&VALUE_8=&FIELD_9=Mat%e9riaux%2ftechniques&VALUE_9=&FIELD_10=Titre&VALUE_10=&NUMBER=17&GRP=0&REQ=%28%28%27MEYNIER%20CHARLES%27%29%20%3aAUTR%20%29&USRNAME=nobody&USRPWD=4%24%2534P&SPEC=5&SYN=1&IMLY=&MAX1=1&MAX2=1&MAX3=200&DOM=All
charles MEYNIER Alexandre le Grand cédant Campaspe à Apelle - 1822 -Rennes ; musée des beaux-arts
attribution à Charles Thévenin
Je crois bien avoir trouvé :
petite étude (32x41 cm) pour un grand tableau
https://fr.wikipedia.org/wiki/Charles_Th%C3%A9venin
Charles Thévenin - Joseph reconnu par ses frères (1789), musée des beaux-arts d'Angers.
presque le même style! Et surtout presque la même composition, les mêmes attitudes comme si le premier était un projet abandonné repris 3 ans plus tard
la main, le drapé du genoux
Comme au Grand Prix de Rome en 1786 le sujet était Coriolan et que le prix n'a pas été attribué (on parle seulement de Girodet qui aurait été le meilleur et de Réattu)
je suppose que Thévenin en faisait partie et qu'il a effectué cette étude. 3 ans plus tard le sujet est Joseph reconnu par ses frères, alors Thévenin reproduit la composition d'il y a 3ans et obtient le Second prix de Rome et commence à avoir des commandes...
il n'aura le premier prix exæquo qu'en 1791 pour Régulus retourne à Carthage
http://www.ensba.fr/ow2/catzarts/rechcroisee.xsp?f=fulltext&v=regulus&f=img_word&v=*&tr=simple
Charles Thévenin, Régulus retourne à Carthage, 1791, Paris, Ecole Nationale Supérieure des Beaux-Arts (115x145 cm)
Et là encore le même style avec ses jeux de mains- jeux de vilains (main étendue, mains jointes et certains figurants ont l'air de passer d'un tableau à l'autre)
il faudrait lire : Le grand prix de peinture de l'Académie royale (1663-1793) : le "prix de Rome" avant la Révolution / Emmanuel Schwartz. - Paris : Beaux-arts de Paris, 2009. - Cote : 14528 (Reprod. p. 37 (N&B))
Qui est Charles Thévenin?
lire => http://www.persee.fr/docAsPDF/rvart_0035-1326_1989_num_83_1_347759.pdf
http://www.cndp.fr/entrepot/index.php?id=1266
Charles Thévenin (1764-1838), Arrestation de Monsieur de Launay, dans la deuxième cour de la Bastille, le 14 juillet 1789, huile sur toile, Paris, musée Carnavalet
http://antiquites-bastian-blog.com/archives/passage-du-grand-saint-bernard
Passage du Grand-Saint-Bernard cadre 27,5x34,5 cm fenêtre 14,2x24,5 cm
Aquarelle rehaussée de gouache,
présentant le Passage du Grand-Saint-Bernard par l’armée française le 20 mai 1800 d’après Charles Thevenin.
Au premier plan, des soldats à cheval ou en train de tracter des canons vers le col, au sommet de la composition,
passent devant le général Bonaparte qui les salue de son bras levé.
Charles Thevenin (1764-1838) réalisa l’œuvre originale en 1807 qui intégra par la suite la galerie des batailles
au château de Versailles. Cette aquarelle ne porte pas de signature.
https://fr.wikipedia.org/wiki/Charles_Th%C3%A9venin
en grand : https://upload.wikimedia.org/wikipedia/commons/6/6c/Provins_%2877%29%2C_%C3%A9glise_Saint-Ayoul%2C_collat%C3%A9ral_nord%2C_retable_-_J%C3%A9sus_et_les_docteurs_de_la_loi.JPG?uselang=fr
Jésus et les docteurs de la loi - Provins (77), église Saint-Ayoul, collatéral nord
On reconnait le style du fond et certaines attitudes
https://fr.wikipedia.org/wiki/Charles_Th%C3%A9venin
Augereau au pont d’Arcole, 15 novembre 1796 (1798), Versailles, musée de l'Histoire de France.
petite étude (32x41 cm) pour un grand tableau
https://fr.wikipedia.org/wiki/Charles_Th%C3%A9venin
Charles Thévenin - Joseph reconnu par ses frères (1789), musée des beaux-arts d'Angers.
presque le même style! Et surtout presque la même composition, les mêmes attitudes comme si le premier était un projet abandonné repris 3 ans plus tard
la main, le drapé du genoux
Comme au Grand Prix de Rome en 1786 le sujet était Coriolan et que le prix n'a pas été attribué (on parle seulement de Girodet qui aurait été le meilleur et de Réattu)
je suppose que Thévenin en faisait partie et qu'il a effectué cette étude. 3 ans plus tard le sujet est Joseph reconnu par ses frères, alors Thévenin reproduit la composition d'il y a 3ans et obtient le Second prix de Rome et commence à avoir des commandes...
il n'aura le premier prix exæquo qu'en 1791 pour Régulus retourne à Carthage
http://www.ensba.fr/ow2/catzarts/rechcroisee.xsp?f=fulltext&v=regulus&f=img_word&v=*&tr=simple
Charles Thévenin, Régulus retourne à Carthage, 1791, Paris, Ecole Nationale Supérieure des Beaux-Arts (115x145 cm)
Et là encore le même style avec ses jeux de mains- jeux de vilains (main étendue, mains jointes et certains figurants ont l'air de passer d'un tableau à l'autre)
il faudrait lire : Le grand prix de peinture de l'Académie royale (1663-1793) : le "prix de Rome" avant la Révolution / Emmanuel Schwartz. - Paris : Beaux-arts de Paris, 2009. - Cote : 14528 (Reprod. p. 37 (N&B))
Qui est Charles Thévenin?
lire => http://www.persee.fr/docAsPDF/rvart_0035-1326_1989_num_83_1_347759.pdf
http://www.cndp.fr/entrepot/index.php?id=1266
Charles Thévenin (1764-1838), Arrestation de Monsieur de Launay, dans la deuxième cour de la Bastille, le 14 juillet 1789, huile sur toile, Paris, musée Carnavalet
http://antiquites-bastian-blog.com/archives/passage-du-grand-saint-bernard
Passage du Grand-Saint-Bernard cadre 27,5x34,5 cm fenêtre 14,2x24,5 cm
Aquarelle rehaussée de gouache,
présentant le Passage du Grand-Saint-Bernard par l’armée française le 20 mai 1800 d’après Charles Thevenin.
Au premier plan, des soldats à cheval ou en train de tracter des canons vers le col, au sommet de la composition,
passent devant le général Bonaparte qui les salue de son bras levé.
Charles Thevenin (1764-1838) réalisa l’œuvre originale en 1807 qui intégra par la suite la galerie des batailles
au château de Versailles. Cette aquarelle ne porte pas de signature.
https://fr.wikipedia.org/wiki/Charles_Th%C3%A9venin
en grand : https://upload.wikimedia.org/wikipedia/commons/6/6c/Provins_%2877%29%2C_%C3%A9glise_Saint-Ayoul%2C_collat%C3%A9ral_nord%2C_retable_-_J%C3%A9sus_et_les_docteurs_de_la_loi.JPG?uselang=fr
Jésus et les docteurs de la loi - Provins (77), église Saint-Ayoul, collatéral nord
On reconnait le style du fond et certaines attitudes
https://fr.wikipedia.org/wiki/Charles_Th%C3%A9venin
Augereau au pont d’Arcole, 15 novembre 1796 (1798), Versailles, musée de l'Histoire de France.
Dernière édition par Ulysse92 le Mar 27 Juin 2017 - 13:17, édité 3 fois
Re: Tentative d'attribution d'un tableau
Pour les curieux une thèse sur l'évolution de la figure de Coriolan :
Pour résumer qu'est ce que j'ai appris en 3 ans :
https://hal.archives-ouvertes.fr/hal-01077536/document
Pour résumer qu'est ce que j'ai appris en 3 ans :
- avant de faire un grand tableau on réalisait souvent une esquisse peinte correspondant à la taille du mien
- certains élèves faisaient aussi une copie du maitre sur une toile de petite taille
- Le néoclassicisme(de 1760 à 1820) inspiré par les découvertes de Pompéi et par les adorateurs de Poussin
- les tableaux de réception à l'académie
- le concours du Prix de Rome avec un sujet précis
- l'histoire de Coriolan
- les élèves de David
- Les difficultés d'attribution vu le style "académique" assez voisin, ainsi en est-il d'Etienne Aubry
- les compétiteurs de 1786
- Thévenin
Quand je pense que ce genre de peinture ne m'intéressait pas du tout et que je continue à la trouver vaine, heureusement que l'aiguillon de l'enquête a su me motiver.
Dernière édition par Ulysse92 le Lun 19 Juin 2017 - 18:45, édité 1 fois
Toujours un peu plus sur 1786, 1789 et 1791
Livres à aller consulter :
mais sans le livre on récupère une image dans la base du musée du Louvre
http://musee.louvre.fr/bases/doutremanche/notice.php?no_page=1&texte=&titre=&localisation=&periode=&images_sans=sans&nb_par_page=36&artiste=%26quot%3BLOUTHERBOURG%2C+Philippe-Jacques+de%26quot%3B&date=&domaine=&nonotice=22&vignette=oui&total=23&idOeuvre=934&lng=0&f=3110
ECOLE ANGLAISE (cercle de FÜSSLI) ou HENNEQUIN Philippe-Auguste (1762-1833)
Le sujet de ce dessin pourrait évoquer le départ de Coriolan, général romain exilé par le Sénat, qui devait se retourner contre sa patrie. Ce dessin est peut-être lié au sujet du concours donné pour le prix de Rome en 1796(??? faute de frappe =>1786 comme on le voit plus loin), et caractéristique du climat héroïque qui domine parmi les jeunes artistes français des années 1780.
Citons un livre numérisé :
https://books.google.fr/books/content?id=B1QEAAAAQAAJ&hl=fr&pg=PA306&img=1&zoom=3&sig=ACfU3U39SPX-PtGrKOBClp9rsYZd6Ad0Xg&ci=96%2C253%2C885%2C1273&edge=0
et remarquons qu'en 1789 on dit que Thévenin a eu le second prix exaequo avec la notation "réservé de 1786" et son collègue Meynier le premier exaequo avec la même notation
Or en 1786 on a supposé que les élèves de David avaient été aidés et le prix n'a pas été attribué.
En plus les professeurs se plaignent que ce ne sont que les élèves de David qui remportent les prix.
En fait le prix non attribué en 1786 est attribué en plus en 1789
Or Thévenin et son collègue Meynier ont concouru plusieurs fois mais pas dans l'équipe de David, leur maître était François-André Vincent (1746-1816)
En 1791 Charles Thévenin remporte le premier exaequo avec Louis Laffitte avec l'indication "réservé de 1786"
C'est donc qu'en 1786 on n'a pas dépensé ce prix et que chaque fois queThévenin quelqu'un peut le mériter on récupère cette dotation pour lui. Mais on ne le fait pas en 1787, c'est donc qu'on pense que Thévenin aurait pu avoir eu un prix en 1786 et que chaque fois qu'il peut le décrocher on rappelle l'année 1786 (ou bien je me trompe complètement) et quand on estime qu'il faut des ex-aequo (écurie de David contre écurie de son concurrent) on récupère la réserve de fonds de 1786
Voilà le travail de Meynier qui a mérité le 1er prix exaequo réservé de 1786
http://www.ensba.fr/ow2/catzarts/voir.xsp?id=00101-11241&qid=sdx_q0&n=9&e=
Charles Meynier - Joseph reconnu par ses frères - 1789 (école des beaux-arts Paris)
Notons que les élèves de Vincent font le même turban sur la tête de Joseph
Quelle est la bonne version? ici la version de la base Joconde et du musée d'Angers
https://fr.wikipedia.org/wiki/Charles_Th%C3%A9venin
Charles Thévenin - Joseph reconnu par ses frères (1789), musée des beaux-arts d'Angers.
et ici une version d'une reproduction à vendre sur internet sans clair-obscur
http://reproarte.com/fr/selection-du-theme/a-technique/huile-sur-toile-papier-carton/la-reconciliation-de-joseph-avec-ses-freres-detail
Livres à aller consulter :
C'est à la page 271 du livre (soit la page 280 de la visionneuse) que commence 1786
Thévenin était 3ème en 1784 pour la "figure académique" mais n'est pas dans la liste pour concourir en 1786!!! Est-ce qu'il aurait travaillé tout seul, pour s'entraîner?
Et ce travail aurait été bénéfique 3 ans plus tard puisqu'il inspire le tableau qui lui permet de remporter une place.
Influence de la Révolution? En tout cas cette année on distribue un prix à chaque écurie!... Du coup Thévenin a droit à son 2ème prix exaequo
Le roi s'appelant Louis, décerner les prix à la St Louis a l'air d'être un must.
En 1791 Même combat! Au lieu du vrai 1er prix Thévenin obtient le 1er prix de peinture en réserve de 1786 de Sculpture!!!
On nous donne l'explication en 1791 et on la redonne en résumé en 1792!
Sur le site suivant on dit que c'est van den Berghe qui a remporté le prix de Rome en 1786!!! Alors qu'il n'en a pas été attribué! Mais un premier aurait pu surgir quand même.
http://www.safran-arts.com/42day/art/art4apr/art0411.html
- Dessins français des XVIIIe et XIXe siècles du Musée de Picardie - Sylvain Boyer - Musée de Picardie, 1997
feuille néoclassique - départ de coriolan
mais sans le livre on récupère une image dans la base du musée du Louvre
http://musee.louvre.fr/bases/doutremanche/notice.php?no_page=1&texte=&titre=&localisation=&periode=&images_sans=sans&nb_par_page=36&artiste=%26quot%3BLOUTHERBOURG%2C+Philippe-Jacques+de%26quot%3B&date=&domaine=&nonotice=22&vignette=oui&total=23&idOeuvre=934&lng=0&f=3110
ECOLE ANGLAISE (cercle de FÜSSLI) ou HENNEQUIN Philippe-Auguste (1762-1833)
Le sujet de ce dessin pourrait évoquer le départ de Coriolan, général romain exilé par le Sénat, qui devait se retourner contre sa patrie. Ce dessin est peut-être lié au sujet du concours donné pour le prix de Rome en 1796(??? faute de frappe =>1786 comme on le voit plus loin), et caractéristique du climat héroïque qui domine parmi les jeunes artistes français des années 1780.
Citons un livre numérisé :
https://books.google.fr/books/content?id=B1QEAAAAQAAJ&hl=fr&pg=PA306&img=1&zoom=3&sig=ACfU3U39SPX-PtGrKOBClp9rsYZd6Ad0Xg&ci=96%2C253%2C885%2C1273&edge=0
et remarquons qu'en 1789 on dit que Thévenin a eu le second prix exaequo avec la notation "réservé de 1786" et son collègue Meynier le premier exaequo avec la même notation
Or en 1786 on a supposé que les élèves de David avaient été aidés et le prix n'a pas été attribué.
En plus les professeurs se plaignent que ce ne sont que les élèves de David qui remportent les prix.
En fait le prix non attribué en 1786 est attribué en plus en 1789
Or Thévenin et son collègue Meynier ont concouru plusieurs fois mais pas dans l'équipe de David, leur maître était François-André Vincent (1746-1816)
En 1791 Charles Thévenin remporte le premier exaequo avec Louis Laffitte avec l'indication "réservé de 1786"
C'est donc qu'en 1786 on n'a pas dépensé ce prix et que chaque fois que
Voilà le travail de Meynier qui a mérité le 1er prix exaequo réservé de 1786
http://www.ensba.fr/ow2/catzarts/voir.xsp?id=00101-11241&qid=sdx_q0&n=9&e=
Charles Meynier - Joseph reconnu par ses frères - 1789 (école des beaux-arts Paris)
Notons que les élèves de Vincent font le même turban sur la tête de Joseph
Quelle est la bonne version? ici la version de la base Joconde et du musée d'Angers
https://fr.wikipedia.org/wiki/Charles_Th%C3%A9venin
Charles Thévenin - Joseph reconnu par ses frères (1789), musée des beaux-arts d'Angers.
et ici une version d'une reproduction à vendre sur internet sans clair-obscur
http://reproarte.com/fr/selection-du-theme/a-technique/huile-sur-toile-papier-carton/la-reconciliation-de-joseph-avec-ses-freres-detail
Livres à aller consulter :
- Anatole de Montaiglon, 1824-1895 - Procès - verbaux de l'Académie Royale de peinture et de sculpture. Tome 9 : 1780-1788
http://bibliotheque-numerique.inha.fr/collection/item/12723-proces-verbaux-de-l-academie-royale-de-peinture-et-de-sculpture-tome-9-1780-1788?offset=1 - Anatole de Montaiglon, 1824-1895 - Procès - verbaux de l'Académie Royale de peinture et de sculpture. Tome 10 : 1789-1792
http://bibliotheque-numerique.inha.fr/collection/item/12723-proces-verbaux-de-l-academie-royale-de-peinture-et-de-sculpture-tome-9-1780-1788?offset=1
C'est à la page 271 du livre (soit la page 280 de la visionneuse) que commence 1786
Montaiglon Tome IX a écrit:--- 1784 ---
page 220 :
3ème place en figure académique pour Thévenin par surabondance--- 1786 ---
page 278 (v287) :
Élèves admis aux essais de la figure peinte et modelée.
Assemblée remise au vendredi à cause de la Fête. — L'Académie, après avoir examiné les esquisses des Élèves, a admis à l'épreuve des académies peintes et modelées d'après nature, savoir, dans la Peinture, les nommés Tardieu, Du Vivier, Girodet, Garnier, Vanderberghe, Motet et Landon, et, dans la Sculpture, les nommés Gois, Vanlède, Corneille et Morgan, pour concourir le lundy 13 de ce mois jusqu'au 15 inclusivement,
et les nommés Le Thière, Wicard, Messier, Fabre, Réatu, Mérimée et La Barrère, dans la Peinture, et, dans la Sculpture, les nommés Gérard, Deschevailles, Espercieux et Marin, pour commencer le jeudy 16 jusqu'au samedy 18 inclusivement.
Lesdites figures seront jugées le vendredy 24, jour devancé à cause de la Fête de l'Annonciation, qui tombe le samedy.
page 279 :
Élèves admis pour concourir aux Prix.
Peinture : Le Thière, Du Vivier, Wicard, Girodet, Messier, Fabre, Vanderberghe.
Sculpture : Gérard, Corneille, Deschevailles, Vanlède, Espercieux, Morgan et Marin
. — L'Académie, après avoir vu les académies peintes et modelées par les Élèves,
jointes aux esquisses qu'ils avoient faites pour obtenir de concourir aux Grands Prix,
a admis, dans la Peinture, par la voie des suffrages, ainsi qu'il a été arrêté par la délibération du 19 Mars 1785,
les nommés Le Thière, Du Vivier, Wicard, Girodet, Messier, Fabre et Vanderberghe,
et, dans la Sculpture, les nommés Gérard, Corneille, Deschevailles, Vanlède, Espercieux, Morgan et Marin.
page 280 (v288)
le sujet : Coriolan quittant sa famille pour aller en exil. Le Comité a choisi le moment où "Coriolan, banni, quitte, avec fermeté, sa mère, sa femme, ses enfans et ses amis en pleurs."
page 292 (v300)
Aujourd'huy, jeudy 24 Aoust, l'Académie s'est assemblée, par convocation générale, pour l'examen des tableaux et bas-reliefs des Élèves qui concourent aux Grands Prix. Après l'examen des tableaux et bas-reliefs des Elèves, l'Académie a arrêté qu'il n'y auroit point de Prix cette année, tant en Peinture qu'en Sculpture.--- 1787 ---
page (v315) :
Élèves admis aux Grands Prix dans la Peinture : Fabre, Thévenin, Messier, Tardieu, Girodet, Garnier, Mérimée.--- 1788---
page 352-3 (v361-2) :
Élèves admis aux épreuves des figures peintes et modelées.
— L'Académie, après avoir vû les esquisses des Élèves, a admis à l'épreuve des figures Académiques peintes et modelées d'après nature, savoir, dans la Peinture, les nommés Tardieu, Girodet, Réatu, Meynier, Gérard, Ansiaux, Jourdain, Desfonts, et, dans la Sculpture, Bridan, Dumont, Vanlède, Deschevailles et Taunay, pour commencer le lundy 10 jusqu'au mercredy 12 inclusivement, et, dans la Peinture, les nommés Pajou, Garnier, Bouchet, Vanden Berghe, Motet l'ainé, Thévenin, Mérimée, Gallier, et, dans la Sculpture, les nommés Gois, Gérard, Béquignot, Motet le jeune et Espercieux, pour commencer le jeudy 13 jusqu'au samedy 15 inclusivement.
Les dites figures peintes et modelées seront jugées le samedy 29 Mars, dernière assemblée de ce mois.
http://bibliotheque-numerique.inha.fr/collection/item/12723-proces-verbaux-de-l-academie-royale-de-peinture-et-de-sculpture-tome-9-1780-1788?offset=1
Thévenin était 3ème en 1784 pour la "figure académique" mais n'est pas dans la liste pour concourir en 1786!!! Est-ce qu'il aurait travaillé tout seul, pour s'entraîner?
Et ce travail aurait été bénéfique 3 ans plus tard puisqu'il inspire le tableau qui lui permet de remporter une place.
Montaiglon Tome X a écrit:--- 1789 ---
Page 14 :
Élèves admis à concourir dans la Peinture : Tardieu, Meynier, Girodet, Bouchet, Thévenin, La Badye, Gérard. Dans la Sculpture : Péquinot, Gérard, Bridan, Person, Espercieux, Vanlède, Vernet.
— L'Académie, après avoir vu les académies, peintes et modelées par les Élèves, jointes aux esquisses qu'ils avoient faites pour obtenir de concourir aux Grands Prix, a admis : Dans la Peinture,les nommés Tardieu, Meynier, Girodet, Bouchet, Thévenin, Labadye et Gérard, et, dans la Sculpture, les nommés Péquinot, Gérard, Bridan, Person, Espercieux, VanLède et Vernet.
Page 26
Lecture a été faite de l'arrêté d'un Comité tenu le 20 Juillet, présent mois, relativement aux Élèves concourants au Prix et détournés
par les gardes qu'ils sont obligés de monter dans les circonstances présentes.
Page 27
Prix de la figure peinte : Réatu. — En ouvrant la séance, l'Académie a procédé à adjuger le Prix fondé par M. De La Tour. Les suffrages comptés, le nommé Jacques Réatu a obtenu led. Prix, et il lui a été délivré en présence de l'assemblée.
On jugera les Prix de Peinture, (qui) seront exposés à la St Louis, le 24 de ce mois (août)
Page 28
Aujourd'huy, lundy 24 Aoust, l'Académie s'est assemblée, extraordinairement et par convocation générale, pour l'examen des tableaux des Élèves qui concourent aux Grands Prix de Peinture, le Prix de Sculpture ayant été différé par les circonstances.
Page 29
Les Prix seront exposés ; il sera accordé un Premier et un Second Prix en Peinture.
— L'Académie a arrêté qu'il seroit, cette année, accordé dans la Peinture un Premier et Second Prix. En conséquence, les tableaux des Elèves seront exposés au public demain, Fête de St Louis, dans les salles de l'Académie. La Compagnie se réservant d'accorder plusieurs Prix s'il y avoit lieu, les dits Prix seront jugés à la prochaine assemblée.
Aujourd'huy, samedy 28 Aoust, l'Académie s'est assemblée, par convocation générale, pour le jugement des Prix de Peinture.
Page 30
Décidé qu'il y aura deux Premiers Prix et deux Seconds.
— Avant de juger les Prix de Peinture, l'Académie a décidé au scrutin qu'il y aurait deux Premiers Prix et deux Seconds.
Girodet, Élève de M. David, 1er Prix. — Le Sr Anne-Louis Girodet, de Montargis, âgé de 23 ans, Élève de M. David, qui a fait le tableau marqué de la lettre A, a obtenu le Premier Prix à la pluralité des suffrages.
Meynier, Élève de M. Vincent, 1er Prix. — Le second Premier Prix a été accordé à Charles Meynier, de Paris, âgé de 23 ans, Élève de M. Vincent, qui a fait le tableau marqué B.
Gérard, Élève de M. David, 2" Prix ; Le Second Prix de Peinture a été accordé, à la pluralité des suffrages, au Sr François Gérard, né à Rome, âgé de 19 ans 1/2, Elève de M. David, qui a fait le tableau marqué C
Thévenin, Élève de M. Vincent, 2e Prix. — , et l'autre Second Prix a aussi été accordé au Sr Charles Thévenin, de Paris, âgé de 24 ans, Élève de M. Vincent, qui a fait le tableau marqué H.--- 1791 ---
page 98(v. 105) :
Concurrens pour les Grands Prix : En Peinture : Pajou fils, De Bret, Courteille, Thévenin, Lafitte, Tardieu, Ramier. Sculpture : Bridan fils, Pioche, Gois fils, Millehomme, Taunay, Callamart, Pequinot.
— Ensuite, l'Académie, après avoir vu les académies peintes et modelées par les Élèves, jointes aux esquisses qu'ils avoient faites pour obtenir de concourir aux Grands Prix pour le concours, a admis, dans la Peinture, les nommés Pajou, De Bret, Courteille, Thévenin, Lafitte, Tardieu et Ramier,
et, pour la Sculpture, les nommés Bridan, Pioche, Gois, Millehomme, Taunay, Callamard et Pequinot.
page 127 (v. 134) et suivantes :
Aujourd'huy, [mercredy] 24 Aoust, l'Académie s'est assemblée, par convocation générale, pour l'examen des ouvrages des Élèves qui concourent aux Grands Prix, tant en Peinture qu'en Sculpture.
Aujourd'huy, [samedy] 27 Aoust, l'Académie s'est assemblée, par convocation générale, pour le jugement des Grands Prix, tant en Peinture qu'en Sculpture, le sujet du Prix étant, dans la Peinture, Régulus retournant à Carthage, et, dans la Sculpture, Abiméleck rendant Sara à Abraham avec des présens.
1er Prix de Peinture* : Tableau E, 32 voix, La Fite(sic); Tabl. B, 28, Thévenin.
1er Prix en réserve de 1786 : B, Tabl. de Thévenin, 55; C, Tabl. de Debret,
2nd Second Prix de Peinture : C, De Bret, 45; A. Ramier, 6; D, Courteille, 6 ; F, Tardieu, 2.
En ouvrant la séance, on a arrêté que le Premier Prix en Sculpture, mis en réserve en 1786, seroit donné. Ensuite, si ce Prix seroit adjugé en Peinture et en Sculpture. Les voix prises par toute l'Assemblée, il a été décidé que ce Prix seroit accordé en Peinture. On a procédé à adjuger le Premier Prix de Peinture de cette année. Il a été accordé à Louis Lafite, de Paris, âgé de 19 ans, Élève de M. Regnault, lequel avoit exécuté le tableau marqué de la lettre E.
Le Premier Prix, en réserve de l'année 1786, a été accordé, pour la Peinture, au nommé Charles Thévenin, de Paris, âgé de 26 ans, Élève de M. Vincent, lequel a fait le tableau marqué de la lettre B.
Le Second Prix en Peinture a été accordé au nommé Jean-Baptiste De Bret, de Paris, âgé de 23 ans, Élève de M. David, lequel a fait le tableau marqué de la lettre C.--- 1792 ---
Page 151 (v 156) et suivantesAnnée 1786.N'ayant point été accordé cette année de Grands Prix, ni en Peinture ni en Sculpture , il a été distribué les Médailles accordées pendant ladite année aux Elèves sur leurs figures académiques.Année 1787.1er prix de Peinture : François-Xavier Fabre.
1er Prix de Sculpture : Bartellemy (sic) Corneille.
2e Prix de Peinture : Etienne-Bartellemy Garnier.
2e Prix de Sculpture : Maximilien Van Lède.
Ensuite ont été distribuées les Médailles accordées aux Élèves sur leurs figures académiques.Année 1788.1er Prix de Peinture : Etienne-Bartellemy Garnier.
j1er Prix de Sculpture : Jacques-Edme Dumont.
2e Prix de Peinture : Anne-Louis Girodet.
2e Prix de Sculpture : [Edme]-Etienne-François Gois.
Ensuite ont été pareillement distribuées les Médailles des Quartiers de la même année.Année 1789.1er Prix de Peinture : Anne-Louis Girodet.
1er Prix de Peinture de 1786 : Charles Meynier.
1er Prix de Sculpture : Antoine-François Gérard.
2e Prix de Peinture : François Gérard.
2e Prix de Peinture de 1786 : Charles Thévenin.
2e Prix de Sculpture : Pierre Bridan.
Pareillement ont été distribuées les Médailles de la même année.Année 1790.1er Prix de Peinture : Jacques Réatu.
1er Prix de Sculpture : François-Frédéric Lemot.
2e Prix de Peinture : Jean-Charles Tardieu.
2e Prix de Sculpture : Charles-Auguste Pioche
Pareillement ont été distribuées les Médailles accordées pendant la même année.Année 1791.1er Prix d e Peinture : Louis Lafitte.
1er Prix de Peinture, réservé en Sculpture en 1786 : Charles Thévenin.
Sa Majesté, pour rendre à la classe des Sculpteurs le Premier Prix dont elle devenoit privée, a accordé, de surcroît, un nouveau Premier Prix de Sculpture à l'Élève qui a le plus approché du Premier Prix. En conséquence, il a donné un Premier Prix de Sculpture de surabondance.
2e Prix de Peinture : Jean-Baptiste De Bret.
2e Prix de Sculpture : Auguste-Marie Taunay.
Pareillement ont été distribuées les Médailles accordées pendant l'année 1791.
Il est en réserve, dans les mains du Secrétaire, un second Prix de Sculpture de 1786, deux premières Médailles et une troisième.
http://bibliotheque-numerique.inha.fr/viewer/12724/?offset=4#page=133&viewer=picture
Influence de la Révolution? En tout cas cette année on distribue un prix à chaque écurie!... Du coup Thévenin a droit à son 2ème prix exaequo
Le roi s'appelant Louis, décerner les prix à la St Louis a l'air d'être un must.
En 1791 Même combat! Au lieu du vrai 1er prix Thévenin obtient le 1er prix de peinture en réserve de 1786 de Sculpture!!!
On nous donne l'explication en 1791 et on la redonne en résumé en 1792!
Sotheby a écrit:Le Prix de Rome, créé pour les étudiants d’art en 1663, était une bourse d’études qui, après le passage obligé d’un concours, permettait au gagnant du Premier Grand Prix de partir pour trois ans à Rome, où il vivait à l’Académie de France aux frais de l’Etat. Le concours se déroulait en trois étapes, d’abord le Concours d’esquisses peintes. Les vingt meilleurs, sélectionnés par un jury, participaient ensuite à l’épreuve de L’étude de nu d’après le modèle vivant. Les dix vainqueurs étaient ensuite convoqués pour l’épreuve finale et devaient exécuter en dix heures une esquisse, puis un tableau définitif réalisé en loge en 72 jours, qui ne devait en aucun cas s’écarter de l’esquisse.
http://www.sothebys.com/fr/auctions/ecatalogue/lot.100.html/2015/tableaux-dessins-anciens-19-siecle-pf1509
Sur le site suivant on dit que c'est van den Berghe qui a remporté le prix de Rome en 1786!!! Alors qu'il n'en a pas été attribué! Mais un premier aurait pu surgir quand même.
http://www.safran-arts.com/42day/art/art4apr/art0411.html
Dernière édition par Ulysse92 le Ven 7 Juil 2017 - 18:07, édité 19 fois (Raison : 7/7/17 nouvelles informations sur Thévenin)
Et si on réattribuait à Van den Berghe le tableau faussement attribué à Etienne Aubry
Le sujet de ce dessin pourrait évoquer le départ de Coriolan, général romain exilé par le Sénat, qui devait se retourner contre sa patrie. Ce dessin est peut-être lié au sujet du concours donné pour le prix de Rome en 1786 comme on le voit plus loin, et caractéristique du climat héroïque qui domine parmi les jeunes artistes français des années 1780.
un concurrent belge en 1786 : Augustin van den Berghe
il partit étudier à paris chez Suvée puis peignit en 1786 "Coriolan dans sa famille" pour le concours du grand prix.
Sur ce site on dit que c'est van den Berghe qui a remporté le prix de Rome en 1786!!! Alors qu'il n'en a pas été attribué! Mais un premier aurait pu surgir quand même.
http://www.safran-arts.com/42day/art/art4apr/art0411.html
Son professeur Joseph-Benoît Suvée a semble-t'il travaillé lui aussi sur le même sujet... et c'était un grand concurrent de David
Car en 1795 Suvée pond " Cornellia mère des Gracques"
https://en.wikipedia.org/wiki/Joseph-Beno%C3%AEt_Suv%C3%A9e
qui me fait étrangement penser à ce tableau :
http://notesdemusees.blogspot.fr/2011/04/cholet.html
attribué (faussement vu la vente suivante du grand tableau) à Etienne Aubry (1745-1781) - les adieux de Coriolan à sa femme - 1781. Musée de Cholet
pourrait-être le tableau exécuté par Aubry à Rome en 1780 et exposé au Salon en 1781, peu après la mort du peintre (dit la base Joconde)
pas de casque!... tout à fait comme mon tableau! sauf le style...
la photo doit représenter le petit tableau car le grand tableau est beaucoup plus fini
http://www.photo.rmn.fr/archive/95-011343-2C6NU0N4IX9I.html
70x126 cm
attribué (faussement vu la vente suivante du grand tableau) à Etienne Aubry (1745-1781) - Les adieux de Coriolan à sa femme - Salon de 1781? Musée de Cholet
Don de Mme Varichon-Raspail, en 1983
http://www.culture.gouv.fr/public/mistral/cdoa_fr?ACTION=RETROUVER&FIELD_98=AUTR&VALUE_98=AUBRY%20Etienne&NUMBER=2&GRP=0&REQ=%28%28AUBRY%20Etienne%29%20%3aAUTR%20%29&USRNAME=nobody&USRPWD=4%24%2534P&SPEC=3&SYN=1&IMLY=&MAX1=1&MAX2=1&MAX3=50&DOM=All
Alors ce tableau autrefois attribué à Aubry est-il d'un des élèves de Suvée (vu le style voisin) comme Van den Berghe puisqu'il il est très difficile de retrouver le tableau de van den Berghe...
https://fr.wikipedia.org/wiki/Augustin_van_den_Berghe
Augustin van den Berghe - le guerrier nu (entre 1780 et 1790) - musée Groeninge.
https://books.google.fr/books?id=gANMAAAAcAAJ&pg=PA65&lpg=PA65&dq=salon+de+peinture+de+1786&source=bl&ots=GRrjWcGHCd&sig=3jXv54m4_4wJZsF5-Kg8ZdH65Wc&hl=fr&sa=X&ved=0ahUKEwiMwpfJjaPPAhVJrRQKHXd3CmA4ChDoAQhIMAc#v=onepage&q=salon%20de%20peinture%20de%201786&f=false
https://books.google.fr/books?id=zLIAAAAAYAAJ&pg=PA81&lpg=PA81&dq=Augustin+van+den+Berghe+coriolan&source=bl&ots=G140dnSsnW&sig=AXRVWYmtQieq-RjV2b6afXDWX7U&hl=fr&sa=X&ved=0ahUKEwi726KIkKPPAhXK6xQKHTCJAeAQ6AEIKDAC#v=onepage&q=Augustin%20van%20den%20Berghe%20coriolan&f=false
https://books.google.fr/books?id=iMwrAQAAIAAJ&printsec=frontcover&hl=fr#v=onepage&q&f=false
http://www.beaussant-lefevre.com/html/detailActualite.jsp?idActu=2234
http://www.beaussant-lefevre.com/html/fiche.jsp?id=2315787&np=3&lng=fr&npp=20&ordre=&aff=1&r=
Etienne Aubry (1745-1781) - "Les Adieux de Coriolan à sa femme au moment qu'il part pour se rendre chez les Volsques"
148 704 € frais compris
Record mondial pour l’artiste Etienne AUBRY (Versailles, 1745 - Versailles, 1781) Les adieux de Coriolan à sa femme Huile sur toile, rentoilée. 145 x 196 cm. Cadre en bois doré, estampillé Infroit. Historique : Collection Jacques Augustin de Silvestre (1719-1809), Professeur de dessin des Enfants de France. Vente M. de Silvestre, Paris, 28 février-25 mars 1811, n° 1, avec dimensions. Exposition : Paris, Salon de 1781, n° 134. (Lot 228 de la vente du 23 mars 2012 – Mobilier du château de Digoine) .... ne pas confondre avec "tableau néo-classique alors attribué à Etienne Aubry et déposé au musée de Cholet"
C'est attribué à Etienne Aubry qui est mort en 1781 à seulement 36 ans! mais cela fait beaucoup plus l'oeuvre d'un peintre plus vieux!!!
un concurrent belge en 1786 : Augustin van den Berghe
il partit étudier à paris chez Suvée puis peignit en 1786 "Coriolan dans sa famille" pour le concours du grand prix.
Sur ce site on dit que c'est van den Berghe qui a remporté le prix de Rome en 1786!!! Alors qu'il n'en a pas été attribué! Mais un premier aurait pu surgir quand même.
http://www.safran-arts.com/42day/art/art4apr/art0411.html
Son professeur Joseph-Benoît Suvée a semble-t'il travaillé lui aussi sur le même sujet... et c'était un grand concurrent de David
wiki a écrit:Joseph-Benoît Suvée, né le 3 janvier 1743 à Bruges, et mort le 9 février 1807 à Rome, est un peintre belge, fortement marqué par la culture néo-classique française. Comme tel il est l'émule et le concurrent du peintre David qui lui voue une haine persistante.
SUVEE
Car en 1795 Suvée pond " Cornellia mère des Gracques"
https://en.wikipedia.org/wiki/Joseph-Beno%C3%AEt_Suv%C3%A9e
Attribution AUBRY ==> Van den BERGHE
qui me fait étrangement penser à ce tableau :
http://notesdemusees.blogspot.fr/2011/04/cholet.html
attribué (faussement vu la vente suivante du grand tableau) à Etienne Aubry (1745-1781) - les adieux de Coriolan à sa femme - 1781. Musée de Cholet
pourrait-être le tableau exécuté par Aubry à Rome en 1780 et exposé au Salon en 1781, peu après la mort du peintre (dit la base Joconde)
pas de casque!... tout à fait comme mon tableau! sauf le style...
la photo doit représenter le petit tableau car le grand tableau est beaucoup plus fini
http://www.photo.rmn.fr/archive/95-011343-2C6NU0N4IX9I.html
70x126 cm
attribué (faussement vu la vente suivante du grand tableau) à Etienne Aubry (1745-1781) - Les adieux de Coriolan à sa femme - Salon de 1781? Musée de Cholet
Don de Mme Varichon-Raspail, en 1983
http://www.culture.gouv.fr/public/mistral/cdoa_fr?ACTION=RETROUVER&FIELD_98=AUTR&VALUE_98=AUBRY%20Etienne&NUMBER=2&GRP=0&REQ=%28%28AUBRY%20Etienne%29%20%3aAUTR%20%29&USRNAME=nobody&USRPWD=4%24%2534P&SPEC=3&SYN=1&IMLY=&MAX1=1&MAX2=1&MAX3=50&DOM=All
Alors ce tableau autrefois attribué à Aubry est-il d'un des élèves de Suvée (vu le style voisin) comme Van den Berghe puisqu'il il est très difficile de retrouver le tableau de van den Berghe...
https://fr.wikipedia.org/wiki/Augustin_van_den_Berghe
Augustin van den Berghe - le guerrier nu (entre 1780 et 1790) - musée Groeninge.
Bibliographie sur Suvée et Van den Berghe
https://books.google.fr/books?id=gANMAAAAcAAJ&pg=PA65&lpg=PA65&dq=salon+de+peinture+de+1786&source=bl&ots=GRrjWcGHCd&sig=3jXv54m4_4wJZsF5-Kg8ZdH65Wc&hl=fr&sa=X&ved=0ahUKEwiMwpfJjaPPAhVJrRQKHXd3CmA4ChDoAQhIMAc#v=onepage&q=salon%20de%20peinture%20de%201786&f=false
https://books.google.fr/books?id=zLIAAAAAYAAJ&pg=PA81&lpg=PA81&dq=Augustin+van+den+Berghe+coriolan&source=bl&ots=G140dnSsnW&sig=AXRVWYmtQieq-RjV2b6afXDWX7U&hl=fr&sa=X&ved=0ahUKEwi726KIkKPPAhXK6xQKHTCJAeAQ6AEIKDAC#v=onepage&q=Augustin%20van%20den%20Berghe%20coriolan&f=false
https://books.google.fr/books?id=iMwrAQAAIAAJ&printsec=frontcover&hl=fr#v=onepage&q&f=false
AUBRY
http://www.beaussant-lefevre.com/html/detailActualite.jsp?idActu=2234
http://www.beaussant-lefevre.com/html/fiche.jsp?id=2315787&np=3&lng=fr&npp=20&ordre=&aff=1&r=
Etienne Aubry (1745-1781) - "Les Adieux de Coriolan à sa femme au moment qu'il part pour se rendre chez les Volsques"
148 704 € frais compris
Record mondial pour l’artiste Etienne AUBRY (Versailles, 1745 - Versailles, 1781) Les adieux de Coriolan à sa femme Huile sur toile, rentoilée. 145 x 196 cm. Cadre en bois doré, estampillé Infroit. Historique : Collection Jacques Augustin de Silvestre (1719-1809), Professeur de dessin des Enfants de France. Vente M. de Silvestre, Paris, 28 février-25 mars 1811, n° 1, avec dimensions. Exposition : Paris, Salon de 1781, n° 134. (Lot 228 de la vente du 23 mars 2012 – Mobilier du château de Digoine) .... ne pas confondre avec "tableau néo-classique alors attribué à Etienne Aubry et déposé au musée de Cholet"
C'est attribué à Etienne Aubry qui est mort en 1781 à seulement 36 ans! mais cela fait beaucoup plus l'oeuvre d'un peintre plus vieux!!!
wiki => AUBRY a écrit:Dans les premières années de sa carrière, Aubry travailla presque exclusivement comme portraitiste, et c’est en tant que tel qu’il fut agréé à l’Académie Royale en 1771. Il fit ses débuts au Salon de la même année, exposant quatre portraits. Il connait ses premiers succès dans ce genre, portraiturant certains de ses plus célèbres contemporains : Christoph Willibald von Glück, Étienne Jeaurat (vers 1771), Madame Victoire jouant de la harpe (1773), etc. Le 30 septembre 1775, il est reçu à l’Académie royale comme portraitiste avec les portraits de Noël Hallé et de Louis-Claude Vassé comme morceaux de réception. À partir de ce moment, voulant donner plus d’essor à son talent, il se mit à peindre, à la façon de Greuze, dans le genre plus considéré dans la hiérarchie des genres, des scènes de genre pathétiques et morales, tirées de la vie domestique. En fait, après n’avoir exposé que des portraits aux Salons de 1771 et 1773, n’avoir présenté qu’un seul portrait, avec un certain nombre de scènes de genre, en 1775, comme l’Amour paternel, il n’exposa aucun portrait en 1777, où sa présentation du Mariage rompu au salon de 1777 eut un grand succès.
Bien décidé à devenir peintre du « grand genre » d’histoire, il se rendit, avec la protection du surintendant des bâtiments de France, comte d'Angiviller, son mécène le plus important, à Rome, à l’automne 1777, afin de se former à la peinture d’histoire. Ses images d’Histoire ne rencontrèrent cependant pas le succès escompté, il peint très peu et, en 1780, il retourna, malade de fièvres, en France où il mourut l’année suivante. Il avait néanmoins pu réaliser les Adieux de Coriolan à sa femme (1781), sa dernière tentative dans la grande manière, exposé à titre posthume au Salon à l’automne 1781, qui remporta un grand succès. Selon Bachaumont, « l’on trouve une couleur vraie, une composition sage, un effet net, et surtout un excellent gout de l’antique2 ». Pour la Gazette des beaux-arts, il « fut certainement un des meilleurs, bien que son œuvre peu abondante ».
https://fr.wikipedia.org/wiki/%C3%89tienne_Aubry
Sujets similaires
» Tentative de retrouver un tableau d'après un dessin de femme au turban
» Tentative de retrouver un tableau d'après un portrait de femme renaissance
» La tentative ratée de renflouer le forum Envie D'Ailleurs
» Transformer un tableau en GIF animé ou en film MOV
» Faire un tableau ou peindre un sujet
» Tentative de retrouver un tableau d'après un portrait de femme renaissance
» La tentative ratée de renflouer le forum Envie D'Ailleurs
» Transformer un tableau en GIF animé ou en film MOV
» Faire un tableau ou peindre un sujet
Page 1 sur 1
Permission de ce forum:
Vous ne pouvez pas répondre aux sujets dans ce forum