Philippe Mercier
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Philippe Mercier
découvert grâce au vin un peintre du XVIIIème
Jeune dégustateur de vin - Musée du Louvre
Philippe Mercier, né à Berlin en 1689 et mort en Angleterre, le 18 juillet 1760, est un peintre allemand de portrait et de genre.
D’une famille de Huguenots réfugiés en Allemagne à la révocation de l’édit de Nantes, Mercier étudia son art à l’académie de Berlin et dans l’atelier d’Antoine Pesne. Après avoir visité la France et l’Italie, Mercier retourna en Allemagne. Le prince Frédéric de Galles, qui se trouvait dans le Hanovre, l’ayant chargé de faire son portrait, il s’en acquitta si bien que le prince voulut l’attacher à sa personne et l’emmena en Angleterre où il en fit son favori.
Durant les neuf années que dura sa faveur, Mercier peignit plusieurs des membres de la famille de Georges II, et, entre autres, les trois princesses aînées, dont les portraits furent gravés à la manière noire. Après sa disgrâce, Mercier acheta un petit bien et se retira à la campagne ; mais il eut bientôt assez de la vie des champs, et retourna à Londres où il se mit à peindre des portraits et des intérieurs « dans la gracieuse manière qui lui est propre, dit Walpole, et quelquefois dans la manière de Watteau, manière dans laquelle on possède une eau-forte où il est représenté avec sa femme et deux de ses enfants. » De Londres, Mercier se rendit à York où il fut bien accueilli, puis il passa quelque temps au Portugal et en Irlande, et revint en Angleterre. Les autres circonstances de sa vie sont inconnues.
La famille Tyreconnel à Belton
Jester
Famille de musiciens
Frédéric, prince de Galles et ses soeurs à Kew
La guitatriste
Portrait d'une Lady (Elisabeth femme de Robert Boyd)
Jeune dégustateur de vin - Musée du Louvre
Philippe Mercier, né à Berlin en 1689 et mort en Angleterre, le 18 juillet 1760, est un peintre allemand de portrait et de genre.
D’une famille de Huguenots réfugiés en Allemagne à la révocation de l’édit de Nantes, Mercier étudia son art à l’académie de Berlin et dans l’atelier d’Antoine Pesne. Après avoir visité la France et l’Italie, Mercier retourna en Allemagne. Le prince Frédéric de Galles, qui se trouvait dans le Hanovre, l’ayant chargé de faire son portrait, il s’en acquitta si bien que le prince voulut l’attacher à sa personne et l’emmena en Angleterre où il en fit son favori.
Durant les neuf années que dura sa faveur, Mercier peignit plusieurs des membres de la famille de Georges II, et, entre autres, les trois princesses aînées, dont les portraits furent gravés à la manière noire. Après sa disgrâce, Mercier acheta un petit bien et se retira à la campagne ; mais il eut bientôt assez de la vie des champs, et retourna à Londres où il se mit à peindre des portraits et des intérieurs « dans la gracieuse manière qui lui est propre, dit Walpole, et quelquefois dans la manière de Watteau, manière dans laquelle on possède une eau-forte où il est représenté avec sa femme et deux de ses enfants. » De Londres, Mercier se rendit à York où il fut bien accueilli, puis il passa quelque temps au Portugal et en Irlande, et revint en Angleterre. Les autres circonstances de sa vie sont inconnues.
La famille Tyreconnel à Belton
Jester
Famille de musiciens
Frédéric, prince de Galles et ses soeurs à Kew
La guitatriste
Portrait d'une Lady (Elisabeth femme de Robert Boyd)
Dernière édition par Ulysse92 le Lun 4 Fév 2013 - 1:07, édité 1 fois
Re: Philippe Mercier
Il faut aller sur le WIKI anglais pour trouver ce tableau qui est à Strasbourg
Le joueur de cornemuse
Sur la base française JOCONDE on trouve d'autres toiles
Conversation dans un parc (ça fait penser à Watteau! )
L'escamoteur
LA FAMILLE BURTON ; DIT AUSSI SCENE D'INTERIEUR A L'ECUREUIL
Cliquez ici => Base JOCONDE
Le joueur de cornemuse
Sur la base française JOCONDE on trouve d'autres toiles
Conversation dans un parc (ça fait penser à Watteau! )
L'escamoteur
LA FAMILLE BURTON ; DIT AUSSI SCENE D'INTERIEUR A L'ECUREUIL
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Re: Philippe Mercier
"Le jeune dégustateur est un parfait exemple du nouveau type des fancy pictures cher à Mercier. Les qualités du peintre se manifestent ici brillamment dans la figure de l'enfant et dans la solide représentation des objets quotidiens. L'artiste fait aussi oeuvre de psychologue et de moraliste en montrant que ce jeune dégustateur n'est pas qu'un chenapan savourant en cachette du vin dérobé: il y a chez cet enfant un sens des valeurs morales, le goût des plaisirs mais aussi, dans le regard le pressentiment de leur vanité." Source:Meslay O, Serullaz A, Jobert B, D'Outre Manche, l'art britannique dans les collections publiques françaises, catalogue exposition, RMN, Paris, 1994, p 76, n°34
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