Delvaux : Un univers onirique dédiée à la femme et aux trains...
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Delvaux : Un univers onirique dédiée à la femme et aux trains...
Un univers onirique dédiée à la femme et aux trains...
Exil (à Paul Delvaux) (Paul Eluard)
Parmi les bijoux les palais des campagnes
Pour diminuer le ciel
De grandes femmes immobiles
Les jours résistants de l’été
Pleurer pour voir venir ces femmes
Régner sur la mort rêver sous la terre
Elles ni vides ni stériles
Mais sans hardiesse
Et leurs seins baignant leur miroir
Oeil nu dans la clairière de l’attente
Elles tranquilles et plus belles d’être semblables
Loin de l’odeur destructrice des fleurs
Loin de la forme explosive des fruits
Loin des gestes utiles les timides
Livrées à leur destin ne rien connaître qu’elles-mêmes.
(Paul Eluard)
Le Rendez-vous d'Ephèse
Le tramway porte rouge Ephèse 1946
Le Tramway
Exil (à Paul Delvaux) (Paul Eluard)
Parmi les bijoux les palais des campagnes
Pour diminuer le ciel
De grandes femmes immobiles
Les jours résistants de l’été
Pleurer pour voir venir ces femmes
Régner sur la mort rêver sous la terre
Elles ni vides ni stériles
Mais sans hardiesse
Et leurs seins baignant leur miroir
Oeil nu dans la clairière de l’attente
Elles tranquilles et plus belles d’être semblables
Loin de l’odeur destructrice des fleurs
Loin de la forme explosive des fruits
Loin des gestes utiles les timides
Livrées à leur destin ne rien connaître qu’elles-mêmes.
(Paul Eluard)
Le Rendez-vous d'Ephèse
Le tramway porte rouge Ephèse 1946
Le Tramway
Dernière édition par Ulysse92 le Mer 6 Fév 2013 - 22:39, édité 2 fois
Re: Delvaux : Un univers onirique dédiée à la femme et aux trains...
Paul Delvaux
Wiki nous dit
Paul Delvaux, né le 23 septembre 1897 à Antheit, Belgique et mort le 20 juillet 1994 à Furnes, était un peintre post-impressionniste, expressionniste puis surréaliste belge.
Subissant l'ascendant de sa mère, Paul Delvaux est élevé dans la crainte du monde féminin.
Il a également subi l'influence de son meilleur ami, éminent artiste peintre lui aussi, Émile Salkin, qui l'a entrainé à dessiner et l'a notamment amené au musée d'histoires naturelles, où ils ont tous deux dessiné et peint des squelettes.[réf. nécessaire]
Après des études à l'Académie royale des Beaux-Arts de Bruxelles, il réalise des tableaux post-impressionnistes, puis expressionnistes influencés, notamment, par James Ensor. Son univers favori est la gare de chemin de fer (« Trains du soir »). Cependant, à chacun des changements d'inspiration, Paul Delvaux détruit ses tableaux (1920-24).
C'est en découvrant un tableau de Giorgio De Chirico « Mélancolie et mystère d'une rue », que Delvaux a la "révélation" du surréalisme (1934). Sans jamais adhérer au mouvement, il commence, avec « Femmes en dentelle », une série d'œuvres d'une unité si profonde que n'importe lequel de ses tableaux se reconnait au premier coup d'œil.
Il expose ses œuvres à l'exposition des surréalistes de Paris en 1938.
Les thèmes récurrents de l'œuvre de Paul Delvaux se caractérisent par la représentation de femmes nues, d'hommes habillés en costume et de jeunes éphèbes dans une attitude hiératique et figée au sein d'un paysage ou d'un milieu urbain tout aussi figé.
Il a peint également de grandes compositions murales comme celle du Casino-Kursal d'Ostende, du Palais des Congrès de Bruxelles, de l'Institut de Zoologie à Liège.
Merci Elly sans toi nous passions encore à côté
et ce soir on va faire plein de beaux rêves (de train pour vous)
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