Cinéma Le Balzac
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Cinéma Le Balzac
on me voit presque je suis toujours au 3ème ou 4ème rang
Samedi soir cinéma Le Balzac aux Champs Elysées
un des deux derniers cinéma d'Art et d 'essai restant aux champs
mais avec une très grande salle et dotée de numérique dernier cri qualité 2K
Cinéma pas trop cher 5€80 avec une carte de 5 rechargeables et utilisable pendant 6 mois!!!
par exemples un trio de 3 jeunes nés en 1985 : violon, violencelle et piano: Piazzola puis Rachmaninov
mais certaines fois c'est plus étonnant
cliquez ici => Site du Cinéma Le Balzac
Le Balzac et Le Lincoln en guerre
Pour la première fois depuis son ouverture en 1935 à deux pas des Champs-Elysées, dans le VIIIe, le Balzac (1, rue Balzac) a fermé ses portes pour une semaine à Noël du 21 au 28 décembre 2011.
Autre première dans un autre cinéma historique du quartier : le Lincoln (14, rue Lincoln), inauguré en 1971, s'est vu également contraint de faire partiellement relâche pour sept jours. Une seule des trois salles est restée ouverte afin de respecter les engagements pris envers la jeune réalisatrice Cheyenne Carron dont le film « Ne nous soumets pas à la tentation » sortait en exclusivité parisienne au Lincoln.
Les deux derniers cinémas d’art et d’essai indépendants du quartier des Champs-Elysées ne baissent pas le rideau pour respecter la trêve des confiseurs. « Nous entendons alerter la profession et le public sur la menace de disparition qui pèse sur le Balzac », affirme Jean Hernandez, programmateur des trois salles de ce cinéma. « Il y a urgence! Il en va de notre survie », renchérit Xavier Blom, son confrère du Lincoln. « Nous nous battons pour l’exception culturelle française dans un pays qui dispose du plus beau parc de cinémas au monde », martèle Jean-Jacques Schpoliansky, PDG du Balzac depuis 1973.
David contre Goliath
Si l’heure est grave, c’est parce que les cinémas indépendants ont de plus en plus de difficultés à décrocher les films d’auteurs connus (Woody Allen, Pedro Almodóvar…), victimes de « la concurrence des grands circuits (UGC, Gaumont) qui exercent une pression constante sur les distributeurs de films », explique Xavier Blom. « Non seulement les multiplexes diffusent tous les films gros porteurs mais ils ne nous laissent même plus les œuvres d’art et d’essai grand public, quand bien même nous avons contribué à faire connaître ces cinéastes », déplore Jean Jean-Jacques Schpoliansky.
Le Balzac a eu beau saisir la médiatrice du cinéma, il n’a pu obtenir la copie du film de David Cronenberg « A Dangerous Method », ni celle de l’œuvre d’Aki Kaurismaki, « le Havre », prix Louis-Delluc du meilleur film de l’année. Faute d’affiche suffisamment attrayante pour cette période de fêtes, le Balzac, dont le nombre d’entrées est passé de 70000 en 2010 à 150000 en 2011, a préféré baisser le rideau. Ce cinéma pas comme les autres, où le pop-corn n’a pas droit de cité, a rouvert le mercredi 28 décembre.
La Mairie de Paris a écrit:
J'y suis retourné depuis pour voir Louise Wimmer
après un guitariste qui jouait avec ses pieds des machines de réverbération et qui nous aussi enchanté en guitare classique
Et hier soir "Sport de filles" après un trio de jazz épatant (Avec Leila Renault, contrebasse ; Yannick Lestra, piano ; Axel Rigaud, saxophone soprano)
Sport de filles
De grands acteurs, un dépaysement dans un monde que l'on ne connait pas : les chevaux magnifiques et les figures de danse qu'ils pratiquent (un peu comme le patinage artistique ), une histoire pas trop tirée par les cheveux (mais par les chevaux ) montrant l'histoire d'une passion => une bonne soirée.
en tout cas beaucoup moins dure que "Louise Wimmer" qui nous montre la vie d'une travailleuse pauvre qui survit dans sa voiture (là aussi un dépaysement dans un monde que l'on ne connait pas mais que l'on côtoie : pendant un an j'ai vu quelqu'un vivre dans sa Range Rover. Quand je rentrais du travail je passais souvent à côté de sa voiture garée après les heures de parmètre et le matin je le voyais partir). Un film bouleversant donc!... c'est ça aussi le plaisir du cinéma.
en tout cas beaucoup moins dure que "Louise Wimmer" qui nous montre la vie d'une travailleuse pauvre qui survit dans sa voiture (là aussi un dépaysement dans un monde que l'on ne connait pas mais que l'on côtoie : pendant un an j'ai vu quelqu'un vivre dans sa Range Rover. Quand je rentrais du travail je passais souvent à côté de sa voiture garée après les heures de parmètre et le matin je le voyais partir). Un film bouleversant donc!... c'est ça aussi le plaisir du cinéma.
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